Je gère des choses au quotidien, j'accompagne un petit garçon dans sa vie, et je dessine parfois - quand j'ai le temps !
Présente depuis la création du projet, je participe avec plaisir à chacune des éditions :)
Dans le cadre d’un collectif qui cherche à promouvoir la poésie à travers le jeu vidéo, j’ai fait quelques recherches de personnages. Voici un extrait de mes recherches, peut-être y aura-t-il un petit quelque chose jouable un jour.
Quand on crée, quand on dessine, on a toujours besoin de progresser – et certainement moi encore plus. Alors en ce moment, je teste des portraits de mon compagnon. Chaque soir, depuis 3 jours, je le dessine pendant 15 minutes, en essayant de faire un portrait réaliste. Et vous savez quoi ? C’est raté XD Ça ne lui ressemble pas vraiment, je n’arrive pas à saisir ce qui fait qu’il est lui.
Avec du travail et de la persévérance je vais bien finir par y arriver.
Récemment j’ai écrit, illustré et relié mon premier livre pour enfant, un doux cadeau pour la fille de mon confident. Je vous montre une vague photo de ce livre, je reparlerai sûrement de ce projet plus tard ici. Car il se peut, éventuellement, que j’en propose quelques exemplaires pour celleux qui voudraient l’avoir chez elleux. Pour le moment, rien n’est moins sûr alors je vous donne juste cet avant-goût !
J’aime beaucoup cette contre-trend des starter pack sans IA, et je suis ravie d’avoir pu me prêter au jeu ! Ça n’a pas été aussi facile qu’il n’y paraît, car finalement ça demande de se plonger dans les méandres de notre vie pour choisir ces objets qui nous accompagnent, ou qui nous représentent le mieux.
Je suis convaincue que cette version n’a d’existence que sur une période, et qu’il en sera tout autre sur une autre période. Cela pourrait être amusant que je fasse des starter packs à différentes périodes de ma vie tiens ! Mais bon, cela demande beaucoup de temps, alors peut-être qu’un jour, mais pas aujourd’hui.
Do it again. Alors j’ai essayé de faire de nouveau un contre-jour, en essayant de faire en sorte qu’il ne soit pas creepy comme la dernière fois, en me disant que bon ok, on a le droit de fail une fois, mais on apprend de ses erreurs !
Et bien finalement, c’est de nouveau un fail. Je n’ai toujours pas réussi à faire un beau contre-jour, un truc qui ne soit pas creepy, qui donne juste une belle image de clair-obscur. Peut-être une prochaine fois ! En attendant comme à chaque fois, je me dis que vous partagez mes fails vous fera dire qu’essayer est le principal.
Menica, en choisissant son thème, nous a mis au défi de faire un plat de nourriture façon Ghibli. Alors j’ai un peu étudié la question, j’ai trouvé ce que je voulais dessiner, et j’ai essayé d’appliquer ce que je voyais. Je vous propose donc ma version d’un burger végétarien, présenté sur sa planche de bois.
Suite à ce dessin, j’ai dû prévoir de cuisiner un burger maison ah ah. J’espère qu’il vous donne envie à vous aussi 🙂
Petit exercice d’une composition graphique, qui représente un peu pour moi tous les blocages et toutes les peurs qui sont en nous, qui ont pourtant quasiment toutes une ouverture vers des solutions, vers un mieux, vers un déblocage qui nous permet alors d’avancer.
Tout est une histoire de connexions, de liaisons, d’idées et de pensées qui se répondent les unes les autres. Il faut qu’elles se fassent correctement, dans le bon ordre, et dans le bon ensemble. Et parfois, c’est si compliqué de réussir à faire ça pour s’en sortir, qu’on reste perdu dans les méandres de notre cerveau.
Imaginons un petit animal caché dans la poche de notre chemise, bien au chaud. Peut-être serait-il là pour nous guider, pour nous rassurer, pour nous amuser. Peut-être ne serait-on que lea seule· à le voir, à le sentir, à savoir qu’il est là.
On dit souvent que le monde est peuplé de petits êtres dont on ignore l’existence, alors pourquoi ceci ne serait pas possible ?
Petite créature imaginaire suite à une discussion sur notre Discord, petit clin d’oeil donc à une autre créatrice 😉
Le travail de silhouette des personnes ou créatures que l’on crée est important et compliqué, car il faut d’assurer que ce soit lisible quelque soit les couleurs, la lumière, et surtout que même sans détail on puisse identifier qui est qui. J’ai donc essayé de prendre le thème au pied de la lettre, et de travailler uniquement sur la silhouette et ce que l’on en comprend.
Noir. Dans le noir, dans les profondeurs, dans ce fond que l’on peut toucher, il y a aussi cette petite lumière que l’on peut voir, que l’on observe, que l’on aperçoit furtivement puis que l’on essaie de suivre pour sortir de cette profondeur. Dans le monde animal, certains animaux des profondeurs marines ont eux-mêmes cette capacité. Dans le monde de l’esprit, je pense que notre cœur est capable de nous montrer une lumière, une chose qui nous permet de se dire qu’un jour, le noir ne sera plus notre enveloppe.
Noir, cette couleur m’évoque beaucoup de choses, dont la plus évidente j’imagine : celle du côté sombre de notre esprit. Alors voici un des côtés, une interprétation, une représentation de ce qui peut se tramer dans mon cerveau à l’énoncé de cette couleur, de cette thématique, de cet adjectif.
Une deuxième partie est prévue, mais vous savez quoi, ça sera pour plus tard 😉
Parfois, on échoue. C’est mon cas aujourd’hui. J’ai voulu tenter un clair obscur sur un portrait, nourrir ma technique pour faire évoluer mon style et avancer, sauf qu’au final je n’ai pas réussi à faire quelque chose de poétique et de beau. J’ai l’impression que cette enfant va venir me hanter, alors que je ne voulais pas ça ! Mais ce n’est pas grave, j’aurais appris des choses à travers cet échec.
Je suis une plante, qui a besoin de soleil. Et souvent, quand il pleut, je ne gère plus aussi bien mes émotions et la tristesse reprend le dessus sur mon moral. Alors qu’il pleut dehors, il pleut aussi dans mon coeur. C’est toujours bizarre quand le temps est à ce point synchronisé avec mon moral, comme si la météo répondait à mes émotions. Il est évident que ça ne peut pas être possible, j’aime le croire par moments. Je trouve ça beau de me dire que la nature est en cohérence avec mon âme humaine, et comme si elle me disait qu’il était ok d’exprimer aussi ma tristesse.
Cette semaine, j’ai voulu essayer une technique de monochromie pour un autre truc plus tard. J’ai fait ça à la main, avec mes stylos habituels.
Pour le contexte : c’est une copie d’un dessin de Clamp, issu du manga Chobits. Ce petit bout de femme d’une vingtaine de centimètre est un persocon, un ordinateur-téléphone de poche que l’on peut transporter avec soi. Seulement l’interface est tout autre, et finalement bien plus portable que notre téléphone + ordinateur + imprimante qu’aujourd’hui !