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Thème de la semaine

Salut everybody tout le monde ! Moi c’est Cascade ! Pour ce premier thème, je vous présente un de mes personnages : Balthazar Belmer.

Balthazar Belmer est un barman qui travaille et réside dans la ville de Brocka. Une expérience particulière lui a permis de connaître les fonctionnements de son univers. Alors que certains tombèrent dans la folie, Balthazar n’y prêta pas beaucoup d’importance et décida de continuer sa vie calmement. Il se mit à ouvrir un bar et à écouter les nombreuses histoires que lui racontent ses clients.

Balthazar possède une capacité secrète : d’un simple regard, il peut bannir un être du monde et l’enfermer dans son imagination, effaçant tout souvenir dans son existence. Ses victimes renaissent sous une nouvelle identité à travers les créations de Balthazar. Cependant, ces dernières n’oublient pas complètement leur passé.

Quelques témoignages :

Plusieurs blocs de texte : 
Quand il pense à nous, c’est à ce moment seulement que nous existons. 
Quand il songe à notre existence, nous n’existons plus.
Quand il nous oublie, nous existons.
Mais quand il nous oublie, nous restons fictifs, prisonniers de son récit. 
Tout était fictif. La réalité était à ma portée. Il m’a trahi et tout dérobé. Plus aucune réalité. Tout est fiction. Je suis sa fiction, comme tout le monde ici. Tous fictifs. Aucun n’est réel. Encore moins qu’avant. 
Il estime que c’est une renaissance. Je pense que c’est pire que la mort. Tout le monde nous a oublié. Nous-même oublions qui nous sommes. Et le peu de choses qui nous définissaient ne sont plus vraies. 

Puis soudain un peu de chance, une cage faite de pages. Une fenêtre vers un ancien monde, où les visages auparavant familiers n’ont plus aucun sens.  
        Ce n’est pas réel.
        Ce n’est pas réel.
        Ce n’est pas réel.
        Ce n’est pas réel.
Rien de ceci n’est réel.
             Tout était  réel… 
                              Rien ne l’est plus…

Quand il pense à nous, c’est à ce moment seulement que nous existons. Quand il songe à notre existence, nous n’existons plus. Quand il nous oublie, nous existons. Mais quand il nous oublie, nous restons fictifs, prisonniers de son récit.

Tout était fictif. La réalité était à ma portée. Il m’a trahi et tout dérobé. Plus aucune réalité. Tout est fiction. Je suis sa fiction, comme tout le monde ici. Tous fictifs. Aucun n’est réel. Encore moins qu’avant.

Il estime que c’est une renaissance. Je pense que c’est pire que la mort. Tout le monde nous a oublié. Nous-même oublions qui nous sommes. Et le peu de choses qui nous définissaient ne sont plus vraies. Puis soudain un peu de chance, une cage faite de pages. Une fenêtre vers un ancien monde, où les visages auparavant familiers n’ont plus aucun sens.

Ce n’est pas réel.
Ce n’est pas réel.
Ce n’est pas réel.
Ce n’est pas réel.
Rien de ceci n’est réel.
Tout était réel…
Rien ne l’est plus…

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