
La semaine dernière, j’ai eu une révélation. Une idée ambitieuse, vraiment classe et particulièrement stupide.
Au détour d’une conversation, je me suis repenché•e sur le Pastafarisme, et j’ai (re)découvert tout le contenu qui a été produit autour de ce concept. Et à ce moment, dans mon cerveau, deux concepts se sont percutés :
- l’évangile Pastafarienne (« loose cannon »)
- les moines copistes
Me voilà donc lancé•e dans mon nouveau projet : rédiger les 200 pages de loose canon à la plume, dans une écriture gothique, sur un livre format A3 non ligné (j’avais prévenu que c’était stupide), avec des petites enluminures modernes.
Celle-ci a été réalisée à l’encre, au feutre pointe fine et au marqueur acrylique.