des notes s’élevait de l’orgue de l’église.
depuis les combles cela venait souligner le drame. la en hauteur dans un espace surplombant la messe qui démarrait deux moines se disputait, pour couvrir le son de l’orgue chacun hurlait et faisait de grands gestes.
depuis le sol de l’église rien de tout ca n’était visible.les fidèles se pressait a l’intérieur impatient de recommencer leur rituel hebdomadaire.
la haut les deux continuait de s’écharper. les mouvements se faisait de plus en plus brusque et le tom continuait de monter a mesure que le débat progressait sans que celui ne puissent trouver une quelconque sortie amicale.
du sol toujours rien d’alarmant, le bruit de l’orgue continuait de couvrir pleinement le bruit de l’engueulade la haut dans les sommets du bâtiments. les fidèles commençait a prendre place sur les nombreux bancs et discutait entre dans une vaste cacophonie pour lutter contre le bruit de l’artiste qui maniait l’orgue.
en hauteur la querelle ne cessait de prendre en ampleur, et pire dans leur colère les deux moines perdant leur repères se rapprochait de plus en plus de la rambarde et s’empoignait de plus en plus vigoureusement.
l’orgue fit silence a présent que les fidèles avait pris place dans l’immense édifice. soudain tous purent entendre la querelle qui se tenait loin dans les combles. et soudain un bruit terrible
l’un des moines, aveuglé par la rage accumulé, repoussa avec force l’empoigne de son collégue. le bruit de la rambarde vermoulue rompant sous le poids de l’homme. terrifié l’homme auparavant rageur fut pris d’un élan en avant, trop tard malheureusement il ne put rattraper celui qui disparut de sa vision, passant sous le plancher de la coursive
l’assemblée de croyants vit impuissante, un homme s’effondrer du haut de la cathédrale. un homme vif tenta bien de rattraper ce pauvre homme mais rien n’y fut un bref silence et soudain les hurlement de l’assemblée qui venait de comrpendre ce qui avait eu lieu.
la haut le désormais criminel moine était en tétanie. a quatre pattes sur le bord de la cursive il semblait observer les conséquences de ses actes. en réalité sonné par l’état de choc il avait le regard dans le vide. il ne comprenait pas ce qu’il voyait et désirait de tout son cœur revenir quelque secondes auparavant. il ne comprenait pas comment il devait continuer. la seule chose qui le retenait sur ce bord était cette instinct animal de préservation. son esprit était brisé et seul son corps le maintenait la. en état de tétanie sur le bord de ce rebord ou sa vie avait basculé.
après une période qu’il ne saurait définir figé sur son rebord a observer les personnes s’organiser pour régler l’immense problème qu’il avait crée il entendit un homme. un policier. il savait pourquoi il était la. il se laissa faire.somme toute heureux de ne pas avoir commis l’irréparable deux fois dans sa journée