Ingrédients
50 pincées de sel
6 pincées de poivre
500 g de lardons
6 dés 20
1 parchemin de Fromage
300 g de spaghetti
Etape 1
Jetez les 6 dés 20. Si votre lancer résulte à un score de 100 ou plus, ajoutez-y le poivre. Sinon, ajoutez le sel. Ajoutez le parchemin de fromage râpé au tout. S’il s’agit d’un fromage de glace, la moitié des dégâts causée par la brûlure du sel sera ignorée.
Etape 2
Remplir une grande casserole d’eau et la faire chauffer jusqu’à ce qu’il y ai les bulles rigolotes qu’il ne faut pas toucher même si j’ai très envie. Vous pouvez ignorer cette étape si vous souhaitez gagner en discrétion et ne pas chauffer l’eau.
Etape 3
Faites dorer les lardons à la poêle avec 1 cuillère d’huile d’olive.
Etape 4
Quand l’eau fait bllblblblblblbl, ajoutez les spaghettis. (Si vous avez ignoré l’étape 2, vous pouvez souffler dans l’eau à l’aide d’une paille.) S’ils sont trop grands, vous pouvez les casser en deux. Si vous le faites, lancez un dé 20 et faites un jet de sauvetage de la mort.
Etape 5
Prendre deux cuillères à soupes de l’eau des pâtes et mélangez les avec les dés 20, de préférence jusqu’à ce que tous les dés affichent 20. Ca donne meilleur goût.
Etape 6
Une fois les spaghetti al dente, essorez-les tout en gardant l’eau des pâtes de côté. En effet, vous pouvez conserver l’eau des pâtes pour éteindre un éventuel incendie.
Epate 7
Mettez les pates avec les lardons et les dés 20 dans la poêle.
Epate 8
Ajoutez le parchemin de fromage. Bon appétit !
Pour le thème miroir, j’ai décidé de faire un fan art de Lake, anciennement connu·e sous le nom de « la version miroir de Tulipe ».
Je vous recommande vivement de regarder la série si ce n’est pas déjà fait.
Pour le thème dualité, j’ai décidé de réaliser un autoportrait qui me représente.
J’ai utilisé le vide de la page ainsi que des morceaux de journaux pour obtenir cette œuvre.
L’assemblage des deux fait la dualité qui compose cette image.
🐴 <– Pour ne pas oublier, car ça fait longtemps.
Pour cette semaine, j’ai fait un petit jeu de rythme pour apprendre les bases de la batterie.
Quand une lettre arrive sur le tambour en bas de l’écran, appuyez sur la lettre correspondante de votre clavier 🙂
Le jeu est jouable et trouvable à cette adresse :
https://wobblyhorse.itch.io/bits-of-beats
La lumière, la lumière … Les couleurs … Les ondes électromagnétiques !
Houlà je suis peut-être allée trop loin HOP C’EST TROP TARD LA MARCHE ARRIERE N’EXISTE PAS DANS CETTE DIMENSION INFERNALE !!!
Et oui, la lumière est composée d’ondes. Selon la longueurs d’onde, notre œil va percevoir une certaine couleur ou une autre ! (y a un rapport avec les desserts glacés mais ça sera peut-être pour une autre fois)
Mais qu’est ce que ce que c’est que qu’une onde ?
Très bonne question !
Réponse : 🌟 SINUS 🌟
Regardez cette magnifique vague ! C’est une courbe sinusoïdale ! Elle se répète tous les 470 nanomètres et notre œil l’interprètera comme du bleu !!!! Cette distance, c’est ce qu’on appelle la longueur d’onde. Si la longueur d’onde est différente, HOP, une autre couleur !
Grande bataille du Bleu (470 nanomètres) contre le Rouge (575 nanomètres) dans sa version restaurée et colorisée.
Et oui, même la lumière est gay ! La lumière blanche est le mélange de toutes les lumières colorées ! Félicitations pour ton coming-out, spectre des couleurs visibles à l’œil nu pour les êtres humains. Nous te souhaitons une vie épanouiss-
QUAND SOUDAIN UN QUESTIONNEMENT : « Suis-je plutôt rouge ou plutôt vert, se demande une lumière jaune ».
A ce quoi je réponds, cela dépend. Il y a différents types de couleurs jaunes !!!
D’ailleurs, si tu te poses la question, cela veut peut-être dire que tu n’es pas une lumière jaune cis, constituée d’une seule onde et conforme aux standards de la société des ondes électromagnétiques. Quelle importance, tu restes jaune quand même ! De plus, ces différences te rendent tellement plus belle et intéressante, chère lumière jaune. Si c’est le cas, apprends à accepter qui tu es.
Si tu étais à la base une lumière rouge et une lumière verte, on s’en contrefiche ! Tout le monde te perçoit comme une lumière jaune et tu as tout d’une lumière jaune ! Tu es valide !!! Et tu peux te considérer plus rouge ou plus vert si tu veux !!! C’est tout autant ok !
Bref, où en étais-je ?
Ah oui, voilà un cheval qui fait du skate sur une lumière verte.
Voici les aminals, des créatures miniatures amicales. Elles résident dans les nombreuses marges de mes notes et effectuent toutes sortes d’activités rigolotes : planche à voile, chant, skateboard …
Il existe actuellement quatre types d’aminals :
– Les Chevals : Créatures bancales et agiles
– Les Serpillères : Créatures généreuses et charmantes
– Les Piedthons : Créatures peureuses et vindicatives
– Les Mahous : Créatures bruyantes et calmes
( BONUS : révisions mathématiques )
Salut everybody tout le monde ! Moi c’est Cascade ! Pour ce premier thème, je vous présente un de mes personnages : Balthazar Belmer.
Balthazar Belmer est un barman qui travaille et réside dans la ville de Brocka. Une expérience particulière lui a permis de connaître les fonctionnements de son univers. Alors que certains tombèrent dans la folie, Balthazar n’y prêta pas beaucoup d’importance et décida de continuer sa vie calmement. Il se mit à ouvrir un bar et à écouter les nombreuses histoires que lui racontent ses clients.
Balthazar possède une capacité secrète : d’un simple regard, il peut bannir un être du monde et l’enfermer dans son imagination, effaçant tout souvenir dans son existence. Ses victimes renaissent sous une nouvelle identité à travers les créations de Balthazar. Cependant, ces dernières n’oublient pas complètement leur passé.
Quelques témoignages :
Quand il pense à nous, c’est à ce moment seulement que nous existons. Quand il songe à notre existence, nous n’existons plus. Quand il nous oublie, nous existons. Mais quand il nous oublie, nous restons fictifs, prisonniers de son récit.
Tout était fictif. La réalité était à ma portée. Il m’a trahi et tout dérobé. Plus aucune réalité. Tout est fiction. Je suis sa fiction, comme tout le monde ici. Tous fictifs. Aucun n’est réel. Encore moins qu’avant.
Il estime que c’est une renaissance. Je pense que c’est pire que la mort. Tout le monde nous a oublié. Nous-même oublions qui nous sommes. Et le peu de choses qui nous définissaient ne sont plus vraies. Puis soudain un peu de chance, une cage faite de pages. Une fenêtre vers un ancien monde, où les visages auparavant familiers n’ont plus aucun sens.
Ce n’est pas réel.
Ce n’est pas réel.
Ce n’est pas réel.
Ce n’est pas réel.
Rien de ceci n’est réel.
Tout était réel…
Rien ne l’est plus…