

Vends joints d’étanchéité, marque Alphonse Robichu. Ils sont neufs avec étiquette. Je les ai malheureusement achetés durant la promotion « pour 17 joints d’étanchéité achetés, le 18eme offert », je ne peux donc pas les ramener en magasin.
Vends joints d’étanchéité, marque Alphonse Robichu. Ils sont neufs avec étiquette. Je les ai malheureusement achetés durant la promotion « pour 17 joints d’étanchéité achetés, le 18eme offert », je ne peux donc pas les ramener en magasin.
au petit matin, alors que le soleil commencait a percer au dessus des pointes montagneuses la garde posté a l’entrée du village montagneux vit s’approcher un homme reconnaissable a sa tenue. Sa tenue trahissait sa vie dans les forets.
« -j’ai des informations. Elle pourrait vous intéresser.
-Bien sur, entre vous savez que vous etes les bienvenus vous autre de la foret.
-je préfére éviter de m’exposer trop longtemps a la roche.
-prudent et aventureux sont la je vais les prévenir, le point de rendez vous habituel ?
-oh parfait, oui ca sera très bien, je file »
l’homme dévala la pente avec terreur tandis que la personne de garde s’occupa d’aller chercher les deux éclaireur. Les damnés des forets ne s’autorisait que rarement a faire entorse a leur dogme pour grimper les montagne. La plupart du temps c’était pour obtenir un petit soutien alimentaire.la il était question d’information ?
Faisant le tour des chambres creusé au sein des murs la garde chercha du regard les deux éclaireurs qu’elle découvrit en train de se préparer en pleine nuit
« excusez moi je dérange ? Fit elle
-oh euh non que se passe t’il ? Fit prudent
-un damné s’est aventuré a l’entrée du village. Il dit avoir des infos si vous le rejoignez au point habituel.
-Chier. Jura aventureux. Bah bonjour le détour, allez termine de ranger tes babioles on a un peu plus de prévu. Lanca t’il a prudent. On prévoyait de partir vers le nord vérifier si tout le monde allait bien. On a entendu des rumeurs de raids sur les damnés la bas justement. Expliqua t’il
-j’espère que ca va aller pour eux. Je retourne a mon poste. Faite attention a vous. Répondit elle »
prudent et aventureux prirent la route non par les sympathique galerie a meme les montagnes, mais commencèrent par leur petit détour. Une petite clairière au sein de l’épaisse foret ou se trouvait un unique galet symbole de rendez vous avec les habitants des montagnes.
Arrivant la il virent un homme visiblement stressé qui tournait en rond autour du dit galet.
« ah vous etes la. S’exclama t’il. J’ai une terrible nouvelle, on a entendu dire que le capitaine du village qui vient de se contruire toujours plus prêt des forets a pété un boulon. D’après nos informations il aurait éxecuté un type en public. Les gens disent que ca serait parce que le type était un externe manipulateur de roche, mais ca ne fait pas de sens parce que de multiples personnes l’ont déjà vu faire usage de ses compétences d’interne.certains se mettent a penser que ce type a soif de sang et qu’il chercherait a créer un incident. Cracha t’il presque tout d’un coup
-attend, attend. Comment ca le capitaine a éxecuté un des civils sans autre raison valable que de créer du grabuge ?
-oui exactement, les gens a qui ont a pu parler sont tous unanimes le pauvre gars est entré dans la prison a prévenu quelqu’un qui a ramené le capitaine et celui ci a éxecuté la personne qui est tombé sur un cadavre dans la prison.
Un éclair passa dans les yeux de prudent et aventureux. Ce meurtre d’un pauvre innocent était la conséquence du leur plus tot. Certes il avait sous estimé le tempérament du capitaine. Mais c’est leur incompétence en tant qu’exfiltrateur qui avait tué. Il semblait évident qu’il ne pouvait pas etre partout. Et étant donné qu’ils était déjà sur place pour les problème de l’est ceux ci prenait la priorité dans leur calendrier.
Un peu difficile de maquiller un bout de plastique mais pour une première, je trouve que c’est correct !
« allez va leur filer a bouffer »
andré embarqua les plateaux de la cantine. Sortant de la chaleur du batiment il fut acceuilli par l’arrivée du soleil sur la vallée, s’élevant majestueusement au dessus des imposantes montagnes. André savait que les soldats de cette petite cité ne blaguait pas, il devait rapidement déposer les plateaux et filer les aider au plus vite. Pour la plupart donner a manger a ces gens dans le batiment en pierre était déjà une perte de temps, heuresement pour eux le cuistot du coin était pas de cet avis.
André progressait avec son chariot sur l’allée de terre qui rendait son chariot instable, cherchant a chaque instant a gagner du temps sans perdre la cargaison. Traversant la rue il subit les moqueries habituels des soldats persuadé que ce qu’il faisait était inutile, les plus enhardi se permettait meme de se servir sur le chariot sous le regard impuissant du transporteur.
Arrivant devant le batiment il crut voir des traces étranges sur le mur, il n’y preta cependant que peu d’attention sous la pression du temps. Déverrouillant la porte il fut accueilli par une terrible odeur de sang. Choqué il fit rapidement le tour des cellules. Observant a la volée au travers des barreaux il ne vit rien. Puis arrivant devant la porte de la cellule prestigieuse il fut soumis a une terrible scène. La dans la seule pièce doté de confort il vit la prisonnière vip et le gérant de la prison, mort gisant dans leur propre sang. En état de choc il resta la a observer la scène incertain du comportement qu’il devait adopter.
« oh ca pue la dedans ! »
le cri derrière lui réveilla andré qui se retourna, un autre civil était sur le pas de la porte
« ah andré qu’est ce qui se passe ici ? Fit il
-un désastre, une catastrophe un problème majeur je sais pas mais on est dans la merde.
-comment ca ? »
l’autre civil s’avanca dans la grande pièce qui centralisait les barreaux. Découvant lui aussi le problème. Après une brève observation il fila notifiant a andré qu’il partait prévenir la garde. Celui ci incertain resta la a observer avec plus d’attention. Les deux cadavres semblait récent. En tout cas ce qui est sur c’est que le gérant était vivant hier au matin. André n’avait pas la moindre idée de quoi regarder, assez rapidement la proximité a l’odeur des corps le forca a sortir vomir. De la après avoir vidé son repas dans la rue il vit un groupe agité arriver dans sa direction. Le capitaine de la garde le civil et quelques autres attiré par la rumeur qui avait déjà commencé a courir. Le capitaine de la gare fila droit sur le cadavre pour l’authentifier puis il se planta devant andré les yeux inquisiteur.
« pourquoi. Fit il ? »
andré avait la berlue. L’accusait t’on d’etre le meurtrier ?
« pourquoi ? Repéta le capitaine »
andré était terrifié sa bouche rendu scellé par le stress
« pourquoi ? Insista le capitaine »
ce n’était pas possible. Pourquoi était il ciblé ? Qu’avait t’il fait. Il ne méritait pas ce sort. La seconde d’après le capitaine l’éxecuta et clama avec force
« quiconque ose défier la force de notre cité doit en payer le prix. Ce vil empoisonneur a été puni pour ses péchés puissez vous rester sur le droit chemin »
après avoir fait son numéro le capitaine retourna a la caserne et fit quérir ses conseillers
« messieurs le problème est grave, j’ai pris la liberté d’évacuer cette affaire de la scéne publique. Mais j’ai remarqué les blessures caractéristique sur le gérant de notre prison. Ce meurtre est l’oeuvre de montagnard.
-comment ? Mais pourquoi se sont t’il permis une telle arrogance ? Et comment le gérant a t’il… ?
Je ne sais pas. Coupa le capitaine, et en vérité je m’en moque, ceci est notre occasion. Expliqua t’il d’un air narquois
-je connais ce regard. Lanca un homme jouant avec un couteau dans le fond de la salle. Tu manque d’effort et tu veux envenimer les choses pour que le qg te donne le droit de grimper dans les colonies des montagnes.
Le capitaine s’enorgeuillit dans un rire appuyé.
-Tu me connais trop bien c’en est presque dangereux. Évidemment que j’ai abbatu ce pauvre type pour lui faire porter le chapeau. Le gars n’a pas vu les traces vertes et rouges sur les plaies c’est son problème. Il aurait du savoir. Mais maintenant j’ai un coupable j’en fais une peau terne, j’envoie les documents au qg et je recois l’autorisation et ptet meme des renfort pour des randonnées.
-c’est comme tu veux mais tu sais bien que le qg est beaucoup plus pieux que tu ne l’es. Pour eux les montagnes c’est rien d’autre que du poison empilé.
-fais pas le rabat joie, on a une occasion unique d’enfin s’amuser un peu. Les patrouilles de campagnes la on s’emmerde. On a été jeté ici parce qu’il voulait pas de nous au front contre les autres royaumes. Laisse moi espérer qu’on va bientôt s’amuser.
-si ca peut te réconforter. S’amusa l’homme au couteau
-allez je veux tous vous voir prêt a la guerre. On va bien s’amuser » clotura le capitaine
le mois de juin est assez chargé pour moi, déjà survivre à cette chaleur je trouve que c’est un boulot assez balèze.
Hydratez-vous et restez au frais !
Le weekend dernier, j’ai eu l’occasion de peindre mon tout premier dessin d’observation en Bourgogne, armé·e de mes pinceaux à réservoir et de mon carnet pas cher (et dont le papier est vraiment pourri).
Cela m’a donné de la motivation pour m’entraîner à peindre d’autres paysages, pour l’instant j’ai simplement repris les leçons des livres d’aquarelle. L’illustration suivante est réalisée à partir du premier tutoriel du livre « peindre les paysages à l’aquarelle » de Corinne Héron-Mimouni.
Lidia attendait dans son bureau, bloqué la elle produisait de la paperasse facultative. Le genre auquel on ne s’intéresse que pour s’occuper l’esprit.
Elle restait la a attendre, elle s’était mis d’accord avec alice pour que cette dernière s’arrange pour amener le gamin ici. Elle avait besoin de connaître les compétences de ce dernier.
« Est ce qu’il va servir a quelque chose ou est ce qu’il va encore taper dans nos ressources celui la. Ah je te jure personne ne fait attention a rien ici. S’emportait t’elle intérieurement. Pourquoi faut t’il préparer la guerre contre la valée en ramassant tout les chiens errants ? A t’on tant que ca a offrir ? »
un bruit sur sa porte la sortit de ses divagations.
« excuse moi lidia, un nouveau rapport d’expédition. Fit un homme
-très bien roger pose le sur le bureau. Dis moi tu as vu alice ? S’enquit lidia
-alice ? Non pas aujourd’hui un peu trop occupé a aider l’expedition a trier et ranger ce qu’ils ont pu chaparder a la vallée. Je suis resté a l’entrée depuis que je suis réveillé je viens juste poser l’inventaire.
-mais elle est ou ? Laissa s’échapper lidia
-si je la croise je lui dit que tu la cherche
-merci »
lidia excédé sortit également de son bureau griffonant qu’elle était parti aider, au moment ou elle s’avanca sous la grande voute de la pièce principale de la caserne alice apparut au bout d’un couloir de la caserne. Le gamin a coté d’elle. lidia prit sur elle pour ne pas lui voler dans les plumes. Le but était de jauger le gamin pas de le renvoyer en crise.
« ah vous etes la, parfait. S’exclama t’elle. Alors gamin prêt ? Alice t’a fait le topo ?
-oui, enfin je crois ? Fit le gamin
-bien alors commencons »
lidia attrapa un cristal rouge et le jeta aux mains du gamin. Puis elle observa son comportement. Le gamin observa le cristal incertain de ce qu’il devait en faire. Il n’avait pour sur jamais vu une telle chose auparavant. Un magnifique cristal rouge parfaitement régulier et suffisament transparent pour voir au travers bien que des aspérités internes gènent ici et la. C’était sans nul doute un magnifique objet, mais qu’était t’il supposé en faire ?
Le gamin observa et manipula l’objet pendant ce qui lui sembla une éternité espérant trouver la solution au problème, mais rien ne lui vint. A ses yeux ce cristal n’était rien de plus qu’un joli caillou.
« bon on part de loin… souffla soudain lidia »
attrapant une autre de ces pierres sur une étagères elle reprit
« ceci est un cristal rouge. C’est une matérialisation de l’énergie que nous autre externe somme capable de manipuler. C’est pas bien utile en soi, faut voir ca comme une outre d’eau pleine. Et quand on la vide… »
avec aisance lidia fit se dissoudre le cristal avant de le reformer a l’identique dans son autre main.
« alors tu l’as vu ? S’adressa t’elle au gamin
-il a disparu ? S’étonna t’il
-donc tu ne l’as pas vu. Fit elle décue. Le cristal n’a pas disparu. Je l’ai remodelé a ma convenance, il s’avère simplement que seul les externes peuvent percevoir cette énergie quand elle n’est pas suffisamment concentré pour se matérialiser en cristaux. Alice as t’on revérifié que le gamin était un externe ?
-j’avoue que non. Répondit t’elle.
-Bon, je reviens. Se ferma lidia »
celle ci retourna dans son bureau y attraper un toute petite poche. Puis elle revint sous l’arche, et se retint de jeter la poudre qui s’y trouvait comme elle le ferait normalement.
« donne ton bras, fit elle autoritaire »
le gamin tendit le bras incertain. La poudre verte coula sur le bras de ce dernier, sans que rien ne se passe de particulier
« bon, pas de picotement ? De tensions musculaire quelconque ?
-euh non ? C’est censé avoir lieu ?
-non justement. J’ai eu peur que les deux abrutis nous ait crée des problèmes mais tout va bien. Si t’avais été un interne tu te serais mis a hurler comme pas possible. Cette poudre verte la elle sert en cas d’urgence, tu touche peau d’un interne avec ca c’est comme si la foudre leur était tombé dessus. Un délicat moment de souffrance. S’emporta lidia
-lidia ! Je t’en prie pas devant les gosses. Rabroua alice
-arrete ton cinéma alice, tu les déteste au moins autant que moi tout le monde ici les déteste.
-on est pas la pour ca lidia ! S’insurgea alice. Les yeux pulsant d’énergie rougeâtre
-oh mais ca veut jouer ? S’exclafa lidia. Toujours aucune maîtrise de soi a ce que je vois
-viens gamin, elle a vu ce qu’elle voulait voir. Pas la peine de rester plus longtemps.
-oh comme c’est mignon, ce gamin a subi des horr…
-raison de plus de pas le brusquer ! Allez viens. Coupa alice séchement »
alice tira sur le bras du gamin qui combattait la tétanie de toute ses forces. Il se raccrocha a la poigne d’alice pour ne pas sombrer. Sortant de caserne furibonde elle ramena le gamin dans un lieu calme. Une petite terrasse qui donnait un incroyable panorama de la vallée. La elle fondit en larmes. Le gamin resta a ses cotés, incertain de ce qu’il pouvait faire mais certain de ne pas vouloir recroiser lidia. Alors il observa le paysage cherchant a deviner ou se trouvait la prison ou il avait vécu auparavant. Ses yeux a présent surélevé par les montagnes decouvrait un tout autre monde. La vallée lui semblait immense et pour autant minuscule. Écrasé comme elle était par la majesté de la chaine de montagne l’entourant. Il observait avec avidité la moindre partie du terrain. Les neiges qui tutoyait le ciel. Les rivières qui en dévalait. Les grandes forets qui séparait la vallée des montagnes. Les champs juste derrière qui teintait le sol du jaune des blés. Il était totalement happé par le panorama. Tout au fond il apercut la vague silhouette d’une grande ville. Il y avait tant de choses a observer qu’il en était fasciné.
« c’est beau n’est ce pas ? Fit alice les larmes au bord des yeux. Je viens ici souvent. Pour voir ce que le monde est réellement. On pourrait vite l’oublier coincé qu’on est dans nos montagnes.
-oui c’est impressionnant. Répondit le gamin toujours happé par le décor
-désolé pour la scène plus tot, je sais que tu a tes propres soucis je voulais pas te faire subir ca.
-pas de soucis, je suis bien content de ne plus etre la bas.
-il faut la comprendre, elle s’imagine que la défense est absolument nécessaire. On a beau lui répéter que les montagnes suffisent a nous rendre inattaquables elle a toujours besoin de plus. Elle a fini par devenir sèche et acide a s’isoler ainsi.
-tant que je peux l’éviter… éluda le gamin. Mais du coup comment je fais pour voir l’énergie ?
-pour ca il faut s’entrainer. Le meilleur moyen de commencer c’est de s’asseoir dans une position confortable de maitriser ta respiration et de fermer les yeux. A force les flux d’énergie se mettront a apparaître. Et puis petit a petit tu y arrivera les yeux ouverts, et tu finira par les voir sans avoir a faire d’effort. »
le gamin s’éxecuta incertain de ce qu’il faisait. Mais effectivement a mesure qu’il maitrisait sa respiration il percevait quelque chose de plus en plus clairement. Comme une rivière sans lit tout autour de lui. Qui l’appellait a s’y baigner. Celui ci tenta d’attirer le flux a lui sans grand succès. S’acharnant il finit par perdre le fil de sa respiration, perdant au passage la conscience de ce flux.
Rouvrant les yeux il vit alice face a lui, le meme flux rouge s’évanouissant dans ses iris que celui qu’il avait percu.
« tes yeux ? S’inquiéta t’il
-ne t’en fais pas je ne faisais que t’aider, lorqu’on fait usage de l’énergie nos iris se teinte naturellement. Plus on est proche de nos capacités maximales plus notre iris se teinte. Il en va d’ailleurs de meme pour les internes. A la différence que leur yeux se teintront de bleu. Tu a surement déjà été témoin d’une telle chose.
-je crois pas ? Eux c’est leur peau qui flash en bleu
-ah oui j’oubliais qu’a mesure que ces idiots nous ont exclu ils ont perdu toute conscience de la maitrise de l’énergie. Ce qu’ils compense avec de la force brute ces anes batés. Du coup leur énergie s’échappe de leur corps a l’usage. Nous les externes n’avons pas ce privilèges. Notre énergie est autour de nous pas en nous, on n’a pas d’autre choix que la maitrise »