Éric était avec son équipe, lumière blafarde sur une table en bazar. L’équipe se préparait pour le casse du soir. Vérifiant tout les plans du batiments, et répetant ceux de l’éxecution de la chose. Le soleil était couché depuis maintenant un bon moment.
L’équipe aussi prete qu’elle pouvait l’etre s’avanca vers le fourgon.
Les clés dans le contact ce dernier rugit en éclairant la nuit de ses pleins phares.
Chargeant les derniers objets nécessaires les complices d’éric prirent places sur les banquettes a l’arrière.
Il était temps.
Éric enfonca la pédale, il avait besoin de cette thune il ne pouvait plus qu’espérer que tout se passerait bien.les rues de la ville était désertes le fourgon avec son faux appareillages de convoyeur progressait dans la nuit sous la lumière répétitive de l’éclairage municipale.
Arrivant devant le batiment l’équipe se raidit, le petit frisson de l’action faisait son effet. Éric enfila son masque au cas ou. Pas que les rues soit très passantes au milieu de la nuit mais il suffisait d’une personne pour que les flics aient un visage a rechercher.
Débarquant du camion il aida l’équipe a préparer le casse. Comme prévu le batiment d’a coté avait un sous sol mal verrouillé. Un ptit coup de pied de biche et la porte fut grande ouverte.
Arrivé dans la grande pièce de stockage du sous sol du batiment l’équipe se mit a son aise. Préparant la foreuse d’un coté ils s’assurrait de réduire le bruit avec des mousses de l’autre, pas que ca puissent etre très utile mais tout est bon a prendre.
La foreuse faisait son office progressant lentement dans le sol quand soudain au bout de quelques temps elle se mit a changer de bruits. Finit la terre et la roche, il y’avait la un magnifique mur de banque renforcé. Retirant la foreuse dans un premier temps l’équipe placa un explosif concu pour pile la ou le métal s’était dévoilé. Une fois la détonation éffectué le mur était visiblement criblé de faiblesses. La foreuse reprit alors son travail terminant de pousser a travers les quelques centimètres de métaux qui séparait le groupe de son objectif.
La foreuse terminant son travail fur retiré et devant le groupe se tenait la salle du trésor. C’était une petite banque après tout pas de raisons de la surprotéger. Afin de vérifier que tout était en ordre il jetèrent tout de meme un mannequin dans la salle.
Aussitôt un sifflement puissant retentit. L’équipe se recula alors remontant vers le sous sol du batiment voisin. La zone était bien piégé avec du gaz,fort heureusement la chose était prévu. Quelques masques a gaz avait été obtenu pour l’occasion. Dès lors les taches furent rapidement réparti, ceux qui portaient un masque filant dans le nuage de gaz tandis que les autres ferait le trajet sous sol camion pour perdre le moins de temps possible.
Éric remontait vers la rue avec le premier sac de billet avant de découvrir l’état au dehors. Les sirènes retentissait déjà de partout. Difficile de fair usage du camion. A moins que les sirènes ne soit assez loin. Éric fila dans la petite ruelle pour vérifier. Débouchant dans la petite rue il avait raison. Les sirènes hurlantes n’était pas encore la. Grimpant dans le fourgon il le placa en marche arrière dans la ruelle pour en faire un placement plus innocent. Descendant de celui ci il prévint le reste de l’équipe. Surtout ne pas grimper. Bricolant vite fait la serrure ils purent faire comme si celle ci n’avait jamais été forcé. Quand a la porte de sécurité de la banque il fallait espérer qu’elle soit bloqué par les procédures de la banque en cas de vol.
attendant dans le silence de la cave l’équipe se demandait si elle allait s’en sortir. L’un d’eux appuyé contre la porte entendit un homme s’avancer dans le petit escalier qui menait a la dite porte. Le groupe était tétanisé. La poignée se mit a bouger. Mais le poids du gaillard évita a la porte de faire de meme. Le policier de l’autre coté s’en alla sans se douter de rien.
Le petit groupe avait a ce niveau récupéré tout l’argent dans des sacs. La question était de savoir comment ils allaient se sortir de ce faux pas. L’un d’eux grimpa pour vérifier si le batiments était accessible. Malheureusement la porte entre le batiment et la cave était verrouillé et probablement grouillant de flics vérifiant les alentours de la banque.
Pour ne rien arranger le nuage de gaz qui n’avait nulle part ou s’échapper commencait a se répandre dans le tunnel. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’une bonne part du groupe ne finissent groggy.
Petit a petit le groupe se sentait partir. Il fallait trouver une solution et vite. Ainsi éculé ces derniers décidèrent de jouer le tout pour le tout. Ouvrant grand la porte il portèrent chacun le plus de sac possible n’en laissant que très peu au sol. Jetant ces derniers dans le fourgon ils prirent place. Éric mit le contact et écrasa l’accélérateur. Devant lui une voiture de police. Ca allait devoir passer. Passant les vitesses a un rythem éffréné pour tenir l’accélération pied au plancher il percuta de plein fouet le véhicule de police. Observant au passage le blindage qui avait servi a maquiller le camion voler au loin absorbant le choc a la place du fourgon. Tournant le volant d’un coup sec il se cala sur la rue avant de filer a pleine vitesse. Fort heureusement l’effet de surprise semblait avoir perdu les flics qui ne réagirent pas a ce echapée du bélier.
Lancé a pleine vitesse l’équipe en fut la première surprise. Finalement la course poursuite ne semblait pas avoir lieu. Filant a travers quelques quartiers pour faire bonne mesure le groupe fut rassuré. Rien ne semblait débarquer derrière eux avec des volontés agressives. Il allait pouvoir empocher le pactole. Mais d’abord passer la frontière au vu des multiples effractions commises.