
le mois de juin est assez chargé pour moi, déjà survivre à cette chaleur je trouve que c’est un boulot assez balèze.
Hydratez-vous et restez au frais !
le mois de juin est assez chargé pour moi, déjà survivre à cette chaleur je trouve que c’est un boulot assez balèze.
Hydratez-vous et restez au frais !
Je fais partie d’une troupe de théâtre, et pour notre représentation qui aura lieu le 15 juin, je me suis proposé pour faire l’affiche !
C’est @nelz qui a fait le line art, et j’ai fait le coloriage !
Alors, ça fait 2 ou 3 semaines que c’est un p’tit peu chaotique sur le rythme de postage sur le blog. Cette semaine c’est thème libre et pas de pression !
Récemment, je me suis engagé dans Arcan, une association qui va organiser la première marche des fiertés de Haute-Loire, et ça m’a fait beaucoup de plaisir de réaliser ce logo pour elleux. Je fais désormais partie de l’organisation, j’ai rencontré des personnes trop chouettes, ça me fait grave du bien de faire partie de ce projet et de ce groupe de gen.te.s.
Arcan, en patois altiligérien (aka de Haute-Loire), ça signifie arc-en-ciel. J’ai conçu ce logo pour qu’il puisse avoir des variantes, dans le visuel au dessus c’est avec les variantes d’autres drapeaux LGBTQIA+, mais on peut totalement imaginer un drapeau en soutien d’un pays, ou des jolies couleurs, textures ou autres logos.
Ça y est, je suis officiellement entré dans le lobby LGBT ! /j
Oh ! C’est moi ! @adzetko ! #starterpacknoai #starterpacknotai
Cette vidéo est le résultat de beaucoup de trucs :
– tomber dans une période d’hyperfocus de Minecraft comme si j’avais 12 ans à nouveau
– me mettre à Aseprite
– reprendre le montage vidéo
– passer du temps à confectionner un modpack Minecraft
– passer aussi beaucoup de temps à trouver les bons réglages pour ne pas avoir une bouillie de pixels ni sur OBS (que je me suis servi pour la capture vidéo), ni sur Kdenlive (pour le montage vidéo)
Et Félicitations !!! 99 posts dans la chaîne ! C’est exceptionnel. Pas un seul fail depuis le début de l’année je crois bien ?
Au final je ne me sentais pas de finir mon brouillon du début de semaine, du coup je me suis perdu sur Garage Band, et le résultat est plutôt proche de ce que j’avais en tête, ce qui est rarement le cas quand je compose, donc voilà une bonne chose de faite !
Eh ouais j’ai pas réussi à finir à temps, mais du coup voici mon brouillon !
P’tit one shot avec du test de compositing (et wow on est à 85 dans le combo c’est ouf)
Béboule et Camemboule c’est déjà pris, bien qu’il ait l’air dégoulinant d’énergie.
Très content d’avoir matérialisé ça à partir d’un flash que j’ai eu.
Et oui, j’ai une seconde partie qui n’est malheureusement pas prête pour aujourd’hui, mais ça vous fera apprendre la patience, bande de sacripans !
Si un jour je finis par m’acheter un kit de linogravure, j’en ferai bien un tampon. En attendant, je voulais absolument tester du dithering moi aussi. J’ai expérimenté avec le site Dither It.
Petites notes personnelles sur les différents tests :
Voici l’image d’origine, qui m’aura servi de « mire » parfaite pour tester les dégradés, que j’ai conçu depuis Figma.
Et vu que j’ai posté un truc qui porte littéralement le nom du thème de la semaine, voici une version pixelisée et ditherisée (si si ce mot existe désormais)
Youtube m’a vraiment transformé ça en bouillie de pixels :<
Et oui, j’étais censé le poster ce lundi, mais j’ai vu que j’avais bien envie de passer un peu plus de temps dessus, je remercie Hastaile d’avoir assurée le post du lundi !
Ouais nan j’ai pas l’temps de me concentrer sur cette question en fait.
Oui parce qu’un miroir, ça renverse, littéralement.
Je prends exceptionnellement le relais de Tieffeline en ce jour pré-dominical !
(la vache j’avais des cheveux)
Réalisé sur Figma, j’ai aussi un timelapse/speedpaint de comment est-ce que j’ai réalisé ça sur Figma, https://youtu.be/y9LT3oef3lE (avant-première à 18h !)
Une fois n’est pas coutume, on switch avec Menica, du coup voici un petit aperçu du thème de la semaine : Créature !
Je me suis inspiré librement du travail de Guillaume Singelin pour cette pièce, euh, voilà, bonne année (oui je l’ai déjà dit la semaine dernière) !
Imaginez un tv-head qui peut vous passer des manettes pour que vous jouiez à Pong sur sa tête.
Et bien n’imaginez plus.
Bonne année 2025 !
Décidément, j’aurai beaucoup dessiné les souvenirs de Blue (nom provisoire) et son ex.
J’ai beaucoup galéré pour le visage de Blue (et je pense que ça se voit).
J’avais prévu de le colorier, mais voyant le temps qui passait je me suis dit que j’allais m’alléger la tâche plutôt que de m’en rajouter.
Pour Myrtille
Claire se réveille un matin dans une chambre, éblouie par la lumière du soleil, vêtue uniquement de ses draps. Tout lui est inconnu, mais elle se sent bien et en sécurité dans cette chambre. À sa droite se trouve un miroir. Elle essaie de se concentrer sur son reflet, qui lui est légèrement familier, comme pour farfouiller dans ses souvenirs. Son but était de se remémorer. Comment est-ce qu’elle a atterri ici ? Toujours dans son lit, et contemplant le miroir, le plafond et les murs qui l’entourent, comme à la recherche d’indices sur lesquels elle pourrait s’accrocher pour retrouver sa mémoire, elle est interrompue dans un sursaut, par un faible toquement à la porte de cette chambre.
– Claire ?
Elle ne savait pas pourquoi, mais elle en était persuadée, ce chuchotement féminin venait de prononcer son prénom.
– Oui ?
– Ça y est, tu es réveillée ?
Lui rétorqua la voix, toujours en parlant doucement.
– Euh, je crois ?
Dis-elle non sans laisser échapper une part d’hésitation dans sa voix.
– Ça va ?
Cette fois, la voix ne chuchotait plus. Elle était interloquée. Claire allait-elle bien ? La concernée elle-même n’en savait rien. Comment définir une telle chose alors que sa propre mémoire, ce qui la façonne en tant qu’individu, lui semblait alors si vide et incertaine ?
– Je crois que j’ai besoin d’un petit moment pour reprendre mes esprits.
– Ah ? Prends ton temps, je comprends.
– Attends, est-ce que tu peux me dire ce que tu sais de moi ?
– Eh bien, euh, c’est surprenant comme question. Je… je peux rentrer ?
– Attends un peu, j’ai pas de vêtements.
Claire entendit un petit soufflement de nez d’amusement de l’autre côté de la porte. Elle prit alors soin de s’enrouler précautionneusement avec ses draps, par pudeur dont elle ne savait pas vraiment tracer l’origine.
– Voilà, je suis couverte, tu peux entrer.
Se présentait alors devant elle ce qu’elle prit d’abord pour son reflet. À y voir plus clair, cette femme avait des cheveux bien plus longs que Claire.
Cette nouvelle présence lui dit
– Ah, je vois. Tu as dû être réinitialisée
Celle-ci s’interrompit en voyant le regard interloqué de son hôte.
– Oh… Je connais bien ce regard, et, oui, nous nous ressemblons effectivement beaucoup. Je suis Clarisse, et je pense que si tu as su reconnaître ton prénom, tu comprends en quoi nous sommes si semblables. On m’a dit de venir te voir, mais sans me donner plus de détails…
Elle finissait sa phrase sur un ton qui laissait entendre dans sa voix un certain regret face à la situation. Claire se sentie rassurée d’un côté, mais d’un coup très stressée. Elle n’en savait donc que si peu d’elle-même ? Elle se recroquevilla dans ses draps et demanda d’une voix pleine d’émotion
– Je… c’est… normal ?
Clarisse sentit de suite la panique dans la voix de son interlocutrice. Elle se permit de s’approcher d’elle pour l’étreindre, en l’enroulant dans ses draps au passage.
– Ça va aller, je vais t’aider, je suis là.
Puis elle lui fit un tendre baiser sur la tempe, qui résonna dans la tête de Claire, qui s’effondrait en larmes, doutant de tout, du peu qu’elle sait, de ce qu’elle vient d’entendre. Des questions la parcourait depuis son réveil, mais là, dans la chaleur des bras de Clarisse, elle se libéra de ses émotions, et ses larmes quittaient son corps comme si ses incertitudes passaient à l’état liquide.
– Merci Clarisse. Tu penses que tu peux m’expliquer tout ça ?
Dit-elle, sans bouger des bras de sa rassurante étreinte.
– Bien sûr ma sœur. Est-ce que tu veux que je commence par quelque chose en particulier ?
– Nous sommes sœurs ?
Dit Claire en fronçant les sourcils, bien que Clarisse ne le vit pas.
– On peut dire ça comme ça. Pas dans le sens biologique du terme, mais je te considèrerai toujours comme ma sœur. Et attention hein, j’espère que ce sera toujours réciproque ! Le ton enjoué de Clarisse était clairement là pour essayer d’alléger l’ambiance
– Je crois que… j’ai besoin de comprendre qu’est-ce que je suis.
Clarisse n’avait vraisemblablement pas réussi à détendre la discussion. Mais elle prenait la question de son homologue au sérieux.
– Tu es une automate.
– Ça veut dire que je ne suis pas vivante ?
– Si, bien sûr. Bien que c’est ce que nos détracteurs disent de nous, je suis convaincue que nous le sommes.
– Nous ?
– Ah, oui, euh, je pense que j’aurai pu commencer par là, excuse-moi. Bref, moi aussi je suis une automate. Tu trouves que je n’ai pas l’air vivante ?
Elle dit ces mots en portant son index et son majeur en V devant son visage tout en esquissant un grand sourire et en faisant un clin d’œil, ce qui fit pouffer de rire sa sœur dans une candeur qu’elle commençait à voir naître en elle-même. Clarisse savait qu’avec cette simple phrase, elle répondait bien mieux à la question quant à leur vitalité.
– Haha, si, bien sûr. Mais ça veut dire que quelqu’un nous a créé ?
Sa peur laissait progressivement place à une part certaine de curiosité.
– Oui, et notre objectif, ça va être de la retrouver.
À cet instant, Clarisse se leva. Elle continua en disant
– À ce sujet, tu peux pas faire ça si t’es à poil.
– Ah, euh, oui. Tu sais où sont mes vêtements ?
– On m’a dit qu’ils ont été rangés dans le placard de la chambre.
Clarisse pointa un meuble rustique derrière elle.
– Mais, pourquoi est-ce que je suis nue d’ailleurs ?
– Eh bien, à ce que m’a dit l’aubergiste, tu es tombée dans la rivière, et vu le froid qu’on a en ce moment, tes compères ont préféré te retirer tes vêtements trempés avant de t’emmitoufler dans du tissu bien sec et chaud pour te ramener ici. Clarisse resta debout pendant qu’elle repartait dans ces explications, et son corps penchait vers la porte de la chambre. Claire comprit et l’interrompit :
– On s’en parlera après, je vais m’habiller.
– Je t’en prie ! Prends ton temps. Je serais juste derrière la porte si tu as besoin.
– Ça marche, merci Clarisse ! Sur ces mots, Clarisse quitta la chambre, et Claire se leva.
En se levant, Claire eut l’occasion d’observer plus en détails son corps. Bien qu’elle ne fut pas spécialement surprise, elle s’arrêta un moment car elle venait de voir que l’intérieur de sa poitrine abritait un caisson, depuis lequel une vitre ronde au cadre doré laissait apparaitre un mécanisme horloger en mouvement. Ce mouvement était stable et précis. Des pièces faisaient un va-et-vient, d’autres étaient en rotation, et en se concentrant, on pouvait percevoir un très léger cliquetis, qui a accompagné Claire toute sa vie. Bien que ne connaissant pas spécialement la technique derrière tout cela, elle observa que tout était coordonné à la milliseconde et au millimètre. Dès qu’elle se leva, elle sentit le rythme de ce mécanisme augmenter. Elle en était persuadée, elle arrivait à se souvenir de cette sensation, aussi courante pour elle que ce que pourrait être cette habitude universelle de léger souffle provoqué par la respiration, alternant entre une sensation fraiche et chaude au travers des narines humaines. Néanmoins, et probablement était-ce lié à son manque de mémoire, elle n’en avait plus l’habitude.
Claire en était désormais certaine, Clarisse disait vrai. Sur cet élan de confiance, elle alla à son placard et trouva ses vêtements. Pendant qu’elle s’habillait, elle appela sa sœur
– Clarisse ?
– Je suis là !
Entendit-elle au travers de la porte
– Toi aussi tu as ce hublot sur ta poitrine ?
– Ah, oui, bien sûr. Bien que derrière la porte, Claire entendit le léger sourire de sa sœur, plein de tendresse. Clarisse reprit :
– Mais tu verras, il y a beaucoup de différences entre nos mécanismes. le tien est clairement plus sophistiqué que le mien. Alors en train de s’habiller, Claire ne savait pas vraiment comment réagir à cette information. Elle n’a pas senti d’animosité ou de jalousie dans la voix de son interlocutrice, mais elle ne put s’empêcher de sentir un brin de culpabilité face à cette information, bien qu’elle n’y était pour rien.
Je me suis offert une petite malette qui est un petit starter kit de la couleur, du coup, forcément il fallait que je m’en serve !
C’est tout brillant, mais c’est quoi ? (Le premier qui répond « c’est absolument pas ce que t’avais prévu », certes il aura raison, mais bon, c’est pas très gentil hein)
Bon Anniversaire Blog à Blocs !
Ouais c’est pas facile en fait Magica Voxel !
Une suite à mon dessin de la semaine dernière, comme le thème s’y prêtait ! Des souvenirs qui sont clairs comme de l’eau de roche pour Blue (ou clairs comme la Dordogne en arrière-plan du dessin), mais qu’est-ce qu’elle aimerait savoir si c’est la même chose du côté de l’autre personne concernée. Mais elle est trop en colère contre elle. Elle ne veut plus jamais avoir à s’ouvrir, à baisser sa garde comme ça, et encore moins face à son ex, elle est trop fière pour ça.
(oui Menica et moi on a inversé pour aujourd’hui et demain, c’est normal)
Revoilà Blue, Cette fois dans un flashback adolescent, en train de vivre une soirée à deux qui l’aura marquée à vie, sur une plage de galets au bord de la Dordogne, soirée qui marquera le début de sa première histoire d’amour.
Je me rends compte que j’ai fait plein de détails dans le fond, mais qu’au final on ne les voit pas. C’est pas grave, ça sera mon petit jardin secret, même si ça aurait pu aider à reconnaître la Dordogne sans que je n’ai à le préciser.
J’ai récemment déménagé, et je suis en plein en train de me triturer pour l’aménagement, et en fait je pense que le mieux que je puisse faire, c’est un dessin, pour me faire un p’tit plan. J’ai beaucoup aimé faire ce dessin, que j’ai fait par dessus cette photo, montrant l’état actuel de mon salon :
Et puis comme vous avez été sages voici le timelapse qui montre aussi que dans ma tête c’était pas super clair mais que j’ai construit itérativement mon idée :
Des fois, on est soulagé de résoudre des problèmes, mais quand on prend du recul, on se rend compte que l’on se les ai créé soi-même. C’est rien de bien nouveau, mais je me dis que la guerre, ça a toujours été ça, se créer des problèmes, et les résoudre dans ce que l’humanité fait de pire.
Récemment, j’ai plongé dans un terrier de lapin. Celui des théories sur Deltarune, le jeu anagramme de Undertale. N’ayant que 2 chapitres de sortis, cela n’a pas empêché la communauté, férue des secrets disséminés dans le précédent jeu de Toby Fox, de s’y donner à cœur-joie, pour tenter de comprendre et d’anticiper la suite, tout en prenant compte l’amour de l’inattendu, du cassage de règles et du retournement de situation que son développeur aime tant. C’est ainsi que je suis tombé sur une série de 3 vidéos de l’autrice Mollystars, nommées « The Device Theory », faisant respectivement 1h35, 2h32, et SIX HEURES TRENTE-ET-UNE. J’ai tout regardé. Pas d’une traite, mais j’ai tout regardé quand même. Et c’est fou, c’est si dense et si complet, alors que le jeu est encore largement inachevé. C’est ce pourquoi le but de l’âme, donc du joueur, (représentée par le ♥️) injecté dans cet univers par le biais du « device », est d’apporter la lumière sur ce qui est arrivé à December Holiday, la sœur disparue de Noelle Holiday, cette fille renne qui a cette passion des glitchs, et qui va probablement devoir s’en servir pour pouvoir retrouver sa sœur.
Eh c’est pas facile de dessiner des reflets convaincants !
Vous avez en avant-première mon numéro 7 de l’Inktober, que je fais en suivant la liste « lamiettober », donc pour aujourd’hui, double contrainte : le thème de la semaine du BàB + le thème du jour de mon inktober. En théorie je vais faire ça pendant tout le mois d’octobre, j’espère tenir ! (J’ai déjà le 5 et le 6 de retard à rattraper, souhaitez-moi bonne chance !)
Quand j’étais au collège, j’avais un mini carnet de dessin, et j’avais fait des BDs avec Sonic dedans, évidemment j’avais créé mon OC shitty friend (littéralement Sonic vert avec la touffe de cheveux de Tails, bref), c’était très mal dessiné et je pense que je n’ai plus aucune archive de ce carnet, mais c’est ce qui m’a fait me dire que ouais, le dessin, bah ça me plait bien. Et je voyais les choses en grand, je voulais créer et raconter des histoires ambitieuses, des multivers liant plein plein de trucs complexes, alors qu’au final j’avais pas tant d’inspi que ça, et bien que l’ambition était là, en vrai j’avais juste vu les choses en trop grand. Donc je me décourageais et ça me rendait triste de pas y arriver. Je visais la lune sans même me rendre compte de la difficulté de la tâche.
Aujourd’hui, j’ai plutôt tendance à trouver de la complexité dans le fait de faire simplement (même si ça sonne antinomique), sans entrer trop dans les détails superflus. Aller à l’essentiel, quand on est un papillon butinant au gré du vent, c’est parfois ne même pas savoir ce que ça veut dire. Bref, ce p’tit hérisson, je serai probablement pas la même personne sans lui, et sans le caractère de chacun de ses compères.
Imaginons-nous dans le futur. Est-ce que les œuvres rétro-futuristes basées sur notre ère contemporaine s’inspireront de notre usage des smartphones et des tablettes ? Quand l’USB-C nous semblera ancien, est-ce qu’on en sera nostalgique ? Est-ce qu’un port légiféré comme celui-ci pourrait faire un sujet intéressant à exploiter dans des scénarios de science-fiction ? Est-ce que la p’tite bouche en 😀 c’était pas de trop ? Est-ce que j’avais pas juste envie de dessiner un sac dans lequel je peux mettre ma tablette, mon Steam Deck et mon portable à charger en même temps, et que j’ai cherché un lien avec le thème qu’a posteriori ?
Tant de questions qui resteront en suspens jusqu’à ce que l’avenir nous donne une réponse…
J’ai utilisé Procreate Dreams et presque 2 jours entiers pour faire cette animation (et un total de 2 charges complètes de l’iPad, et une charge complète du Pencil). L’intérêt, c’est que ça m’a permis d’apprendre à me servir de cette appli, bien fichue mais dont de nombreuses fonctionnalités peuvent paraître cachées au premier abord.
Tout n’a pas à passer par des mots. Certes, il est important de se dire les choses, surtout celles qu’on hésite à dire, mais les mots ne suffisent pas forcément dans un dialogue. Ils peuvent être durs à trouver ou sujets à quiproquos. C’est pour ça qu’en complément, ce qu’on appelle communément le langage corporel vient se greffer à nos émotions et à nos humeurs, rendant le tout plus homogène. Plus que d’entendre et de regarder, ressentir nous aide à éclore. Communiquer, c’est un échange, qui vient introduire en nous les pensées de l’autre. Alors je vous invite, le temps d’un pavé, à lire sur ma façon de voir les choses.
(suite…)Cut the cord
Mark the pins
You’re not bad at denning, darling
But that doesn’t mean anythingCut the Cord – The Living Tombstone
The very culmination of your being!
Don’t confuse,
When you’re lost in the grooveThe Groove – Muse
The Clock stopped ticking forever ago
How long have I been up? I don’t know
Echo – Crusher-P
Send you my love on a wire
Lift you up every time
Everyone, ooh, pulls away, ooh
From youuuuuuuuuuBlack Sheep – Metric (& Brie Larson dans la version du film Scott Pilgrim)
À l’aube de l’ère industrielle.
Daydream,
I fell asleep beneath the flowers
For a couple of hours
On a beautiful dayDaydreamin’ – Lupe Fiasco, Jill Scott
Et voilà Red (nom provisoire), lae troisième protagoniste de mon projet de fiction actuel, RGB Project. Je vous ai déjà présenté Blue (nom provisoire) et Green (nom provisoire, vous avez capté) dans des précédentes créations, et je suis très heureux de pouvoir enfin montrer lae batteur.euse de leur groupe. (Oui le titre du post est un jeu de mots éhonté entre son instrument et l’accumulateur électrique)
J’ai choke, c’était pas vraiment ce que je voulais faire
We are Fucking fucked
We are Fucking fucked – Muse
Let’s push the emperors into the ocean
Muse – Will of the People
Ça fait un fond d’écran sympa non ?
You’re a part of the dawn
Everything Matters – Aurora
When the light comes from the dark
You’re a part of the morning
And everything matters to me
Petit vagabondage créatif à partir d’une icône de micro très épurée que j’ai fait pour un projet secret 🤫
Revoici Green ! Je l’avais dessiné en prodige du piano, le voilà pixelisé. Toute son histoire repose sur son manque de courage et comment est-ce qu’à partir de certains déclencheurs, il va réussir à s’affirmer.
Ça m’avait manqué de faire du pixel art, vous n’avez pas idée !