Shilderi

Je ne suis rien j'ai juste des idées. Vous connaissez l'élephant qui fait comme l'oiseau ?
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evolution

29 mars 2025

j’avais 0 idée alors voila kirlia qui doit choisir de devenir transfem ou transmasc quand iel évolue

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fugitif

19 mars 2025

Lisa se promenait dans sa ruelle, descendant la pente sous une fine neige fort peu désagréable. C’était jour de marché elle espérait fort bien en faire un bon jour. Passant à travers les étroites ruelles qui menait a la grand-place elle pestait a son habitude sur le fait de ne pas vivre du côté de la grand-route du commerce. À mesure qu’elle s’avançait les rues s’élargissait petit à petit. Elle profitait ainsi de plus en plus du panorama de sa petite ville à flanc de montagne.

Soudain une personne passa en trombe, tirant la bourse de Lisa avec expérience. Celle-ci ne l’entendait cependant pas de cette oreille.

Tournant les talons elle fonça derrière la silhouette encapuchonnée en hurlant au cas où. Elle ne se faisait pas de gros soucis. Elle était sur son territoire. La silhouette pour autant faisait tout pour être perdu, filant rue par rue et cherchant à semer Lisa.

Heureusement pour Lisa la neige était sa meilleure alliée. Les grosses traces bien fraiches due a la course du voleur lui offrait la possibilité de traquer sans grande difficulté les tentatives de filouteries de l’encapuchonné.

Lisa entendait de-ci de-là les cris des habitants qui voyait l’encapuchonné passer. Elle pouvait alors encore mieux suivre le malandrin.

Soudain a quelques mètres d’elle entendit un bruit sourd. Du genre impact sur bois. Tournant la tête pour vérifier elle vit un homme massif l’interpeller. Le forgeron du village qui venait de sortir de sa forge pour vérifier

« ah Lisa, henry a ouvert ses volets sur le pauvre homme qui avait la mort aux trousses. Il m’a l’air salement assommé. »

henry ricana d’un air joyeux

« allons Alphonse il faut sortir de votre forge plus souvent j’ai fait exprès d’ouvrir mes volets. S’amusa le vieil homme. Lisa courait partout depuis un moment pour rattraper ce vagabond en hurlant a qui voulait l’entendre qu’il avait chipé sa bourse.

-ahah c’est un sacré doigté qu’il faut pour ouvrir un volet dans la tête d’un coureur. Répondit le forgeron fouillant l’encapuchonné. Ah bah voila la bourse »

Jetant cette dernière vers Lisa il la fit entrer dans la forge pour reprendre son souffle ailleurs que dans le froid du matin. Celle-ci pressée reprit son souffle avant de prendre congé et de filer vers la place du marché

ici et la des gens en livrée aux couleurs de la ville s’affairaient a repousser les ténèbres de cette nuit sans lune. Tobar les observait depuis son balcon, il attendait la présence de ces types. Ayant observé ce signal il enfonca sa capuche sur sa tete.

Tobar a présent difficile a reconnaître jeta un coup d’oeil a sa chambre. L’autre s’en était allé après que la discussion se soit bien trop éternisé au goût de tobar. Bien évidemment se balader capuche sur la tete au milieu de tout ces types en livrée était la pire chose a faire a moins de vouloir taper la causette dans un cachot. Souhaitant éviter de finir en un tel endroit avec ses « outils » tobar préféra empoigler l’encadrement de la fenetre, puis de se suspendre a celle ci. Impulsant un fort mouvement du dos il se hissa sur le toit, de la il avait un panorama impressionnant. Passant entre les toits sérrés les uns aux autres ils se mit a la recherche de sa proie. Le plan n’était absolument plus de se salir les mains avec le sang d’un homme mais de doubler les commanditaires voila qui promettait plus d’interet.

En chasse dans les hauteurs de la ville tobar s’impatientait, il tournait en rond sur des toits vides a la recherche d’une confirmation visuelle du bijou depuis un bon moment et autant il en avait vu des bijoux en tout genre sur tout type de personne, mais pas moyen de tomber sur le bijou de jai porté sur des vetements bariolées. S’il voulait atteindre son objectif il semble que tober allait avoir besoin de descendre de son perchoir pour aller vers les quartiers plus a l’écart ou de plus grandes batisses s’accumulait sans se toucher. L’idée ne l’enchantait guère puisque elle impliquait de devoir passer dans un lieu bien moins propice a l’infiltration. Cependant il était bien forcé de le faire. De totue facon sans bijou il ne serait jamais tranquille.

Cherchant un moyen de se laisser descendre vers la rue tobar apercut son homme. Il était effectivement loin dans le quartiers plus riche. Mais il venait par ici, il y avait fort a parier que celui ci ferait un tour de la ville, probablement qu’il voudrait lui aussi s’amuser sur la grand place ou autre. Finalement peut etre n’était t’il pas temps de se passer de sa position stratégique pensa rapidement tobar.

L’homme s’avançait distraitement dans la large avenue pavé qui menait au coeur de la ville. Il avait sorti sa plus belle tenue orange et bleu auquel s’ajoutait des dorures et des argentures de toute sortes. La coupe de vin qu’il avait pris avant de sortir lui donnait chaud aux oreilles en cette nuit fort peu clémente. Mais il voulait profiter a son habitude de l’ambiance de la grand place. Un moment délicieux ou la ville n’étant plus prise par ses obligations s’amusait sous le clair de lune,ou son absence, a boire et danser sur le rythme de troubadours toujours heureux de donner spectacle contre quelque piécettes.

Tobar vit l’homme s’avancer, malheur du hasard celui ci ne portait pas son collier tant désiré. Rapidement se forma dans l’esprit de Tobar l’idée de profiter de la maison vide pour y faire un tour. Mais il n’avait pas fait le moindre repérage. Soudain un flash de lucidité. Et si son « acolyte » essayait en fait de le doubler ?

Tobar se laissa tomber lourdement du hat des toits, il devait se dépecher. Cavalant sur les pavés il avisa la maison dont il croyait avoir vu son homme sortir. Il devait aller vite. Tant pis pour la sureté. Enjambant une petite haie il atterit dans le jardin. Filant sur l’herbe il avisa la première prise sur un mur et escalada a la recherche d’une fenetre un peu fragile. Bien vite il fit céder une serrure. Il était dans la place, restait a présent a trouver l’objet. Fouinant il sentait le désespoir grimper en lui. Il avait besoin de ce médaillon, vendu ou offert.

Tobar filait autant que lui permettait sa position accroupi. La batisse était immense. De sa pièce il arriva dans un immense hall. L’entrée, qui semblait etre connecté a tout le batiment. S’avancant sur le balcon intérieur tobar ouvrit porte sur porte. Rien. Pas la moindre trace d’une pièce susceptible de contenir tel bijoux. Tobar continua a chercher mais rien n’y fit. Premier étage comme rez de chausée pas la moindre trace du bijou. S’était t’il déjà fait doubler ? Cela ne pouvait avoir eu lieu. Il devait retrouver ce bijou.

La porte d’entrée s’ouvrit sur l’homme que tobar recherchait. Fort heureusement ce dernier était dans un angle mort. Malheureusement au bruit perceptible l’homme n’était pas seul. Tobar devait filer. Tant pis pour cette nuit, si un groupe entier est la il n’a pas la moindre chance. Au moins il est certain que c’est la bonne maison. Se faufilant loin des regards du groupe rendu hagard par la fete et l’alcool tobar repassa par la fenetre d’ou il était venu,se lachant dans l’herbe au dessous. Le problème c’est que son « associé » était peut etre en train de l’attendre. Paniqué, tobar remonta sur les toits. La haut, a présent a l’écart il souffla. Les toits ne sont pas un lieu ou on va habituellement. La noirceur de la nuit les rend acceuillant pour ceux qui,comme tobar, cherche a se cacher.

Tobar profita de cette hauteur pour observer la nuit qui avancait. Sur la place ne restait que quelques personnes trop ivre pour finir leur nuit ailleurs. Mais cela était de piètre importance. Ce dont tobar avait besoin c’est de savoir si l’auberge était un endroit correct pour passer a nouveau la nuit. Sur un faux pas tobar se voyait déjà réveillé par une lame sous la gorge. Après tout si ses soupcons s’avérait vrai alors le sournois a la peau de cendre l’avait volontairement dérouté sur la place pour s’inflitrer le premier, et voudrait probablement se débarasser d’un témoin génant.

Finalement tobar décida de partir du principe que l’auberge était trop dangereuse. Il n’avait pas spécialement le choix. De plus ca lui éviterait de se taper la plonge en échange du gite au vu de ses finances.

Partant de la tobar se rendit au bord de la ville, la ou s’arretait les gens les moins fortunés et glissa le long d’un mur. Enfoncant sa capuche sur la tete il fila droit devant lui. Il lui restait a trouver une foret dans le coin un peu de mousse fera l’affaire pour cette nuit.

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funestes rencontres

5 mars 2025

Tobar était allongé sur sa paillasse bas de gamme qu’il avait acheté pour trois fois rien a l’aubergiste, a ce prix-là il était déjà étonné que ça soit une pièce dédiée et pas un dortoir ou on s’entasse. Mais peu lui importait il n’était pas là pour profiter du décor.

Se remémorant la scène ou on lui avait commandité un meurtre il observait la course du soleil attend que faillissent ses derniers rayons. Il revoyait le visage de ce garde

« occupez-vous de ce gars et je vous jure que vous n’aurez pas à vous en faire pour un loong moment. »

Qu’il lui avait dit après avoir vu l’aisance de notre protagoniste à découper une pomme sur un étalage. Tomar avait réagi hilare, qu’est-ce que c’était que ces conneries ? Puis ça serait si facile de se défausser sur lui et de le jeter en prison si ça tournait mal. Le truc c’est que le garde avait commencé a se faire menacant. Visiblement c’était pas prévu de dire non. La taille de la masse a la ceinture du garde s’assurait du résultat de l’entrevue.

Grinçant des dents, tournant et se retournant dans sa couche en attendant le moment fatidique ou le soleil disparaîtrait Tobar se sentait mal à l’aise. Devait-il vraiment jouer a ce petit jeu ?

La lumière qui passait par la fenêtre commençait à fortement diminuer. Tobar continuait à tergiverser quand un homme en haillons noirs profond, voûté et a la peau tirée et grisâtre fit irruption dans sa chambre.

« bonjour jeune homme. Fit-il refermant la porte. Ou plutôt devrais-je dire assassin en herbe, n’est-ce pas ?

— mais qu’est-ce que ? Fit Tobar choqué se redressant brusquement de sa couche.

— Oh du calme mon jeune ami. Je viens vous former a l’exercice complexe que vous souhaitez accomplir, je suis la sur offre de votre commanditaire. S’expliqua-t-il. On ne s’improvise pas meurtrier. Et vous avez mis les pieds dans quelque chose qui vous dépasse. Savez-vous seulement qui vous visez ? Ricana-t-il

— un gars que j’ai besoin de voir mort pour pas finir avec ma cervelle sur la masse d’un garde. Siffla Tobar

— hihihi vous êtes bien vague mon jeune ami. Vous ne me faites pas confiance. S’amusa le filiforme face a Tobar.

— J’ai aucune raison de le faire, vous êtes au courant de choses que vous n’êtes pas censé connaître. Rétorqua tobar. La main glissant vers son arme

Allons si j’étais un ennemi je ne me serais pas amusé à me compromettre dans cette description. J’aurais balancé l’aubergiste au garde pour couverture de criminel. Je vois d’ici la jolie pièce d’or que j’aurais pu y récupérer sans trop d’effort, après tout je n’ai jamais connu d’aubergistes pleinement conscient de ceux qu’ils hébergeaient. S’amusa l’homme gris

— bon ça suffit les plaisanteries, vous voulez quoi ? S’agaça Tobar

— ce que je veux, mais que ton assassinat ait lieu voyons, n’est-ce pas évident ? Roucoula l’homme

— et comment vous comptez m’y aider ? Grogna Tobar

— oh mais très simplement, en vous conduisant dans les rues de cette ville, je sais quel est le véritable but de votre manœuvre, vous n’avez pas réellement a abattre votre cible n’est-ce pas ? Fit l’homme avec un sourire complice.

— comment ça ? Le garde m’a bien dit qu’il voulait que je le tue ? S’intrigua Tobar

— oui mais la preuve de sa mort ? Il n’a de ce que je sais pas demandé la tête ou même de cheveux, il veut « le gros cristal qui dénote toujours des tenues bariolées » et un bijou ça se récupère sans effusion de sang.

— d’accord mais si le garde apprend que j’ai fait le travail qu’a moitié je vais finir avec une massue dans le crane moi.

— mon cher, vous manquez cruellement de jugeote, si lui le veut pensez-vous vraiment qu’il est le seul ? Je connais une demi-douzaine de vicomte qui sont tous éperdument jaloux de ce bijou porté par un philistin inconscient de ce avec quoi il se pavane, le leur vendre serait d’une aisance absurde. Et l’argent est un excellent protecteur. Avec tant d’argent vous pourriez ouvrir une échoppe sur un thème de votre choix et ainsi lancer un commerce qui vous fournirait un statut protecteur. S’attaquer a vous en simple garde reviendrait à se mettre a dos le vicomte du coin ou peut être même le comte lui même si vous veniez à être doué. Exposa le phasme

— ah ah moi me baladez en gérant d’échoppe ? Elle est bien bonne celle-là. Ricana tobar

— mon bon monsieur il vous suffit de la bonne ruelle et de ce coutelas qui vous a mis dans cette embrouille pour gagner gros. Tout ce que je propose c’est de boucher l’autre bout de la ruelle et de vous prendre 20 % de ce que vous en tirerez chez l’un des vicomtes intéressé. »

— un partenaire de crime ? L’idée me plaît, ça solidifie mes chances et donc réduit celle que mon sang décore la chaussée de la place du marché. Quel est ton plan ? tu sembles savoir mieux que moi commence fonctionne ces choses-là. S’enquit Tobar

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je m’excuse pour ca

28 février 2025

Claire était sur son pc la nuit était belle et elle était en vocal discord avec ses amis. Ils étaient en pleine partie de « gromeka 2 ». claire était plutôt fière de ses performances sur la partie elle se sentait vraiment impactante et sentait venir le petit titre de MVP a la fin de la partie.

Malheureusement, un des joueurs d’en face jouait un meka vicieux qui pouvait se cacher et faire de gros dégâts ce qui désactiva le meka de claire

pendant ce temps son son ami cure était encore en vie et l’écran de claire passa sur son gameplay le temps de pouvoir a nouveau jouer

du coup claire obs cure.

Oui pardon

j’avais juste envie de faire une blague nulle

sinon ca va vous ?

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péché d’arrogance

18 février 2025

Anna se baladait sur le chemin qui la menait de son arrêt de bus a sa maison comme chaque jour. Fort heureusement la pluie avait cessé peu avant son arret. Elle revoyait le visage inquiet de sa mère la veille observant la télé annonçant une forte tempête.

« pas la peine de prendre un parapluie pour faire la coquette, demain c’est k-way grosse capuche avec un tel vent » disait-t-elle

Anna avait préféré n’en faire qu’a sa tête et partir avec son parapluie de la maison et elle était bien fière d’avoir esquivé la pluie. Un petit sourire taquin lui parcourait le visage tandis qu’elle se voyait déjà annoncer a sa mère qu’elle s’en était fait pour rien.

L’arrêt n’était cependant pas tout proche de la maison et une bonne 15aine de minutes était requise pour effectuer l’itinéraire entre ces deux lieux. Le chemin de campagne révélait les récentes pluies sur les arbres qui luisait sous les rayons du soleil qui faisait son grand retour tandis que l’herbe diffusait cette odeur si caractéristique qui passe après la pluie.

Anna continuait son petit chemin guillerette au milieu de ce joli décor. Profitant du soleil de retour après la journée passée en intérieur pour éviter le temps orageux.

Soudain une goutte se fit sentir. Anna tira la moue elle n’était pas à la moitié du chemin. Par sécurité elle attrapa son parapluie qui était accroché a son sac jusque-là par confort. Elle pressa le pas désormais soucieuse de prendre une averse mal avisée.

Le vent se mit à gonfler tandis que la pluie reprit de plus belle. Désormais franchement agacé Anna dut accélérer prenant la pluie en pleine face, le parapluie rendu inutilisable par les bourrasques.

Désormais trempée elle commençait à avoir du mal à percevoir les alentours tant il était difficile de lever la tête sans prendre des seaux d’eau, fort heureusement elle avait l’habitude du chemin. Mais elle commençait a réellement prendre froid.

La tempête ne fit que de forcir. Désormais frigorifié et prise dans un puissant vent de face elle décida de s’abriter comme elle put. La maison d’un voisin n’était pas bien loin.

Arrivant devant celle-ci elle constata avec dépit que personne ne semblait y être rentré. Dégoulinante elle se recroquevilla comme elle put sous le court préau qui protégeait la porte d’entrée.

De nouveau capable de redresser la tête elle put observer la force de la tempete. Les arbres étaient plié par la force du vent tandis que l’humidité de l’air se faisait sentir malgré l’abri de fortune trouvé en se cachant devant une maison qui n’est même pas la sienne.

Derrière elle un bruit la fit sursauter. La porte se déverrouillait et elle vit passer par l’encadrement de la porte une tête âgée d’une soixantaine d’année

« oh ma petite tu es la fille de claude c’est ça ? Reste pas dehors sous la tempête vient je vais te faire une boisson chaude. Fit la petite tête

ah euh merci. Réagis Anna surprise mais satisfaite. Mais je suis trempé ça vous dérange pas que je salisse tout ?

-oh ma grande, a mon âge de toute façon on apprécie le ménage ça fait une occupation dans la journée

-ah euh bah d’accord alors. Répondit Anna un peu choquée de la réponse »

En entrant elle comprit mieux la dite réponse. Tout était incroyablement impeccable, tant et si bien qu’il eut été impossible de dire que quelqu’un vivait ici pour de vrai. Pas une trace pas une poussière des miroirs reluisant des meubles briquée comme jamais.

Anna toujours incroyablement dégoulinante se sentait incroyablement mal a l’aise de poser le pied au de là du tapis de l’entrée le sol était si propre qu’on pourrait probablement manger dessus.

« allons ma grande, ne sois pas si hésitante je t’ai dit que ça ne me dérangeait guère que tu salisses. Fit la petite dame offrant un plaid bien chaud a la pauvre Anna »

Celle-ci ne se fit pas prier pour enfiler cette couche de chaleur bienvenue. Elle se laissa guider jusqu’au salon ou deux fauteuils faisait face à l’âtre d’une cheminée en pleine activité

« au vu de ce petit parapluie je suppose qu’on a voulu faire la belle ? Fit la petite dame offrant un thé . Ah j’ai connu ça moi aussi a ma grande époque, jeune vaillante toujours à vouloir aguicher les plus beaux hommes du coin. Mais dame nature n’a que faire de nos petites vanités, une petite capuche vaut toujours mieux qu’un gros rhume »

Anna la regarda d’un air génée. Après tout à présent prise sur le fait, dégoulinante d’avoir voulu faire la fière elle n’avait pas vraiment de contre-argument à opposer. Et puis le thé dans ses mains était des plus attirants. Elle en avala avidement le contenu pour se réchauffer autant qu’elle put

« j’avoue j’ai voulu faire la fière devant ma mère. Elle m’avait prévenu qu’un petit parapluie dans une tempête ça serait inutile. Mais j’ai voulu faire comme si ça le serait et je me retrouve un peu trop mal vêtu pour une tel situation ? C’est dommage a quelques minutes près j’aurais gagné mon pari.

-ah la fougue de la jeunesse, poussez les limites toujours même quand les vieux comme moi expriment de la sagesse et non de l’autorité. En tout cas avec de telles trombes je me demande si tu vas pouvoir finir ton trajet. Sortir par un aussi gros temps même en voiture je ne m’y risquerais pas. Avec le flanc de falaise à passer un peu plus loin ? Dans les deux sens ? Avec autant de vent et une route trempée ? Il faudrait être sacrément têtu pour tout de même prendre son volant dans de telles circonstances. Prévint la petite dame

-c’est vrai que ce flanc de falaise n’est pas des plus accueillants et même sans l’avoir atteint il était déjà impossible de me repérer avec toute cette pluie

-ah ça on a rarement vu de tels trombes, ah de mon temps on avait pas tout ça, on était insouciant et maintenant vous les jeunes on vous laisse un climat déréglé. Des fois j’aurais aimé être au courant de tout ça, prévenir les gens changer mon mode de vie pour me dire que j’ai pas participé a tout ca. Mais a quoi bon ? Fit la dame pensive

-au moins vous n’aurez pas à voir la fin du film catastrophe si on veut voir le positif. Tenta Anna bien que toujours fascinée par son thé.

-alors celle ça elle est bien bonne. S’exclafa la petite dame. Avec les progrès de la médecine qui sait je pourrais être la aussi dans 50 ans réagit-elle avec un sourire complice, bon sur ce, il se fait tard, la pluie coupe toute lumière ça me fatigue a vitesse grand v. je te prépare une chambre au cas où et je te laisse gérer, il y a une prise électrique au mur si tu as besoin. Et mes petits enfants ne cessent d’oublier des chargeurs ici tu les trouveras dans le panier d’osier. Sur ce, bonne nuit

-ah bah euh bonne nuit et encore merci. Réagis anna »

Anna vit la petite dame s’embarquer dans l’escalier quand soudain la fatigue la rattrapa elle aussi. Dans le confort du salon avec le bruit rassurant de la cheminée et l’effondrement du stress du a cet environnement calme elle ne se sentit pas partir

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a l’anglaise

11 février 2025

j’étais pas inspiré par le titre je me demandais ce que « portable » allait bien pouvoir m’évoquer. j’ai eu quelques pistes d’un petit texte ambiance espionnage mais rien de bien concluant. terrible syndrome de la page blanche

puis je suis parti me faire a manger, et la je me suis dit « après tout pourquoi pas ? ca fera au moins une proposition a expliciter a défaut de réussir a la produire »

du coup cette semaine je vous propose ce screenshot d’une partie de league of legends parce que la communauté de ce jeu a tendance a BEAUCOUP parler le franglais et du coup « portable » dans ma tete a fini par sonner comme « carryable » a savoir une partie de jeu ou tes alliés ne proposent pas forcément de grands effort vers la victoire mais ou toi tu sens que tu peux les fournir pour gagner malgré les erreurs ou le manque de volonté plus ou moins manifeste de tes alliés

du coup voila pour cette semaine un screenshot prétexte a une petite explication a défaut de trouver l’inspiration de produire un texte inédit sur le thème proposé

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acrostiche végétale

4 février 2025

Vie lente

en prenant de l’ampleur

grandit une plante

envoyant vers le ciel ses fleurs

tronc en progression abondante

arbre qui croit avec ardeur

l’été s’annonce enchanteur

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insupportable csp+

21 janvier 2025

Un soir de printemps, Yann préparait sa soirée. Il avait été prévenu à l’improviste de celle-ci par ses potes qui débarquerait sous peu. Le type était débordé. Habituellement il se faisait pas à manger, uber c’est pratique. Mais pour les potes faut faire l’effort du coup il avait préparé un truc à la va-vite. Une quiche avec ce qu’il avait dans le frigo et profitait du temps de cuisson pour ranger ce qu’il pouvait.

Il était débordé par la surprise mais bon un vendredi il aurait pu s’en douter. Puis coup de bol il avait pris son vendredi pour se faire un petit week-end de trois jours, probablement que l’info a fuité quelque part.

Fonçant de ci de la pour avancer il finit par percevoir un salon acceptable non pour un célibataire, mais pour un groupe de gens pile pour entendre la sonnette. Pas de bol il était pas habillé

il déverrouilla la porte et lâcha un

« salut, installez vous j’arrive. » avant de filer dans sa chambre pour enfiler quelque chose de plus présentable

en descendant les escaliers qui donnait sur le salon il vit que les gens avait pris leurs aises sans difficulté et attrapa une chaise pour les rejoindre

« j’arrive toujours pas a croire que t’habite dans un tel manoir et seul en plus. Lâcha un de ses potes

-un coup de chance, la baraque avait des travaux a faire j’ai pas tout compris mais çà faisait flipper les promoteurs qui voulait s’en débarrasser pour que dalle. Le vrai prix de cette baraque était a des années lumières de ce que j’ai payé. Réagit Yann amusé que le sujet ne sortent pas de leur tête.

-ouais mais quand même quoi, si c’était pas paumé dans les champs je t’aurais demandé ce que c’était le loyer pour une chambre.

-c’est sur que c’est tellement paumé que ton loyer actuel passerait en essence et assurance. Bon sinon un petit jeu la ? Lança Yann pour changer le sujet en démarrant la télé et la console. »

la soirée avança chacun grignotant ce que les invités avait apporté en faisant tourner les manettes pour jouer a tour de rôle. Quand soudain une mauvaise odeur se fit sentir. Du genre fumée et cramée

« oh merde la quiche. S’exclama Yann »

se ruant vers la cuisine adjacente il ouvrit le four pour découvrir une quiche pas encore totalement perdu amis définitivement impacté par la cuisson imposé. Sous la pression de l’adrénaline il pianota pour arrêter le four, attrapa distraitement un torchon pour limiter la chaleur et prit dans la tourte. Manque de chance la prise distraite dans le torchon bien épais fit glisser le plat des mains de Yann et la quiche finit retourné sur le sol de la cuisine

« fait chier. Siffla t’il entre ses dent. Bon les gars on a plus de plat principal je crois bien. La quiche vient de faire un bisou au sol.

-ah bah super, eh coup de bol il est encore tôt, doit y avoir des trucs encore ouvert dans le bourg du patelin non ? Lança un des convives

-ouais y a une pizzeria un peu sympa mais vu le nombre qu’on est je vais aller les chercher du coup.répondit Yann dépité empoignant les clés de sa voiture. Je revient faites pas les cons

-t’inquiète on a des rivalités a assouvir sur fifa on bouge pas du canap. Lui répondit t’on »

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???????

14 janvier 2025

Un beau jour d’hiver par la fenêtre un homme savamment habillé observait distraitement la cour du château ou il se trouvait. Pas un nuage a l’horizon et aucun vent vicieux à esquiver. Un moment parfait pour profiter de la vue sur les environs par-delà la cour et évacuer les odeurs accumulées dans la pièce. L’homme était heureux et prenait un grand plaisir a ce moment de joie si simple.

Il observait çà et là les paysans par-delà la grande muraille vaquer a leurs occupations dont il ne comprenait que maladroitement les procédés et objectifs, chaque jour il se disait prêt a s’intéresser plus a la chose et chaque jour il avait plus de paperasse a produire et trier. Son père forgeron lui avait trouvé une place de choix dans ce château en lui trouvant un maître capable d’enseigner l’écriture. Mais de ce fait notre homme gardait en lui cette frustration de ne jamais rien sentir d’autre que la colle et le papier.

Gardant la fenêtre ouverte et préférant rajouter une couche de vêtements afin de conserver le bruit de l’activité au-dehors il se replongea dans les documents de la journée. Tracé de ronde à mettre à jour, résumé d’émissaires, plan en tout genre, budget… il était fort las de tout ceci. Sans compter son opposition a certaines des choses qu’il lisait. Les dépenses et achats qu’effectuait l’apothicaire du château lui hérissait le poil à chaque fois qu’elle finissait sur son bureau. C’était bien loin du reste des demandes de dépenses et chaque fois une chose a minima dérangeante pour ne pas dire purement glauque figurait dans la liste.

Prenant dans un nouveau papier du vrac qu’il gardait comme « à trier » il tira justement une demande de l’apothicaire. Encore une fois la demande portait sur divers morceaux de cadavre d’animaux à quémander a la hutte de chasseurs au sein du village. Pourquoi diable l’apothicaire nécessitait-t-il tant de cadavres ? Est-ce là un genre de fin gourmet instrumentalisant sa position ?

À contre-cœur notre secrétaire valida la demande, sans pour autant la ranger. Chaque fois que celui-ci tentait d’entraver les méthodes et demandes dépravé de l’apothicaire le prince volait au secours de ce dernier et le secrétaire finissait avec de nouveaux ennuis en plus de sa pile. Alors il cherchait d’autres stratégies. Sa préférée étant de ne pas s’intéresser aux demandes de l’apothicaire tant qu’autre chose requérait son attention. Pas de rangement pas de paiement. Le secrétaire n’avait pas trente-six méthodes d’action. A minima celle-ci était invisible et efficace à court terme. Ah le plaisir de rire sous cape en voyant l’apothicaire se plaindre de difficultés d’approvisionnement à cause d’un papier validé depuis trois semaines mais simplement pas rangé a l’endroit prévu bloquant la transaction.

Le secrétaire satisfait de sa petite action continua à réduire la taille de son fatras de demandes. Et vers la fin de l’après-midi lorsque le soleil se mit à rougeoyer il passa à nouveau une tête par la fenêtre pour profiter de la vie au-dehors.

À nouveau il observa avec bonheur les actions de chacun.

Soudain. Un bruit se fit entendre. Anormal et violent. Une pierre sur un morceau de métal lui fit dire ses souvenirs de la forge de son père. Notre secrétaire balaya la zone de vue. Et ne vit rien. Par précaution il fila à sa porte et la verrouilla avant de revenir observer cette cour. Qu’était ce donc ?

Repassant la tête par la fenêtre, cette fois avec la vivacité du stress. Il chercha une quelconque explication a tout ceci. Et le comportement au sein de la cour du château lui donnait raison d’observer anxieusement. En bas tout ce petit monde s’observait avec incompréhension et certains s’approchèrent du lieu du bruit. Habituellement un poste de garde assez banal pour rediriger les gens vers la cour et qu’il n’entre pas dans le château.

L’un d’eux, que le secrétaire crut au tablier reconnaître comme un autre forgeron s’approchait avec une arme improvisée. Soudain une chose le happa comme un fluide noir vivace qui l’enveloppa et le fit disparaître dans les ombres de cette porte mal éclairé.

Le secrétaire s’affola espérant comprendre. L’apothicaire avait-t-il dépassé toute limites ?

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caritatif

8 janvier 2025

https://www.twitch.tv/videos/2347045022

depuis le 3 janvier on récolte des dons sur twitch

et le stream c’est l’art de faire sans retouche

du coup venez bourrez les dons

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jail polish

11 décembre 2024

elle avançait tranquillement dans la rue, se remémorant le briefing. elle revoyait le visage du boss qui lui filait le gadget pour sa mission toujours avec ce ton enjoué de gamin sénile fasciné par la technologie.

« ceci est donc votre vernis a ongles enregisteur. une vapeur incroyable qui se colle a vos ongles,on croirait une simple couche de couleur mais en vérité ca fait taser micro et ca traque vos fonctions vitales parce qu’on arrete pas le progrès. ce a quoi je vous ajoute le classique micro casque auriculaire pour discuter avec le qg selon les déformations de votre oreille. une merveille de biomécanique ce bidule »

elle s’amusait de voir de tels gadgets déployés pour tuer le temps. continuant sa balade elle arriva sur les lieux de sa mission. une baraque classique en bordure de route pavillonnaire. probablement que la dedans on trouvait une famille standard pour aller au bout du cliché.

« bon voila la baraque tu sonne et tu vois ce qui se passe. lui dit on dans l’oreillette.
-ah direct ? meme pas un tour de reconnaissance ? s’enquit t’elle
-déjà fait on a rien repéré meme pas une signature thermique c’et ca qui est bizarre et c’est pour ca que t’es la, si on peut capter une conversation avec ces types on en saura ptet plus.
-bon bah ok ca me va

elle s’avanca tranquillement vers la porte et toqua fermement. après quelques secondes d’attente sans réponses elle tenta une autre fois de toquer

« qg ? j’ai aucune réponse ca confirme vos soupcons ? demanda t’elle
-négatif, il pourrait tout afait faire les morts pour que tu t’en aille
-et je fais quoi maintenant ? on est en plein horaires de bureau, y’aura personne dans le voisinage d’un tel quartier, a la limite quelques ados a l’emploi du temps chanceux
-et bien je ne sais p… oh le larsen. quelque chose semble parasiter les communications c’est insupportable.
-bon et bien comme ca au moins on a pas de doutes sur les présences, je suis attendu visiblement »

poussant la porte discrètement elle la découvrit verrouillé, maugréant sur l’évidence que ca n’aurait pas pu etre aussi simple.

descendant le portique elle s’engagea dans le jardin mitoyen des maisons pour repérer l’arrière. glissant le long du mur recroquevillé pour etre le plus discrète possible malgré l’évidence de sa présence. sa précaution fut rapidement récompensé. un homme se jeta par la fenetre droit devant elle atterissant dans le jardin le dos face a elle, visiblement il avait espéré la prendre par surprise. le chasseur finit donc chassé d’un coup de taser dans la nuque.

« qg ? »

un bruit de fond éléctronique désagréable lui répondit, rien d’intelligible pour autant. si elle voulait communiquer a nouveau elle devait filer. faisant les poches de celui qui avait espéré etre agresseur elle eut la désagréable surprise que celui ci avait pensé a se les vider avant d’agir. pas une preuve de quoi que ce soit.

elle ne souhaitait certainement pas rentrer bredouille. la fenetre était certes surélevé mais elle restait accessible. se jetant elle accrocha le rebord et se tracta jusqu’à voir l’intérieur. un intérieur fait de carton en tout genre, les murs recouvert d’une étrange pate, probablement l’isolant thermique qui avait permis de duper la reconnaissance.

passant lourdement par la fenetre, elle atterit dans le salon.

« bien le brouilleur du coup »

avancant dans la pièce elle comprit bien vite que rien n’avait lieu ici. elle avisa les murs du regard et remarqua une irrégularité dans le papier peint

« je suis presque sure de comprendre ce qui se passe ici »

avancant jusqu’à cette irrégularité elle trouva un panneau coulissant. bingo derrière se trouvait un producteur d’iem, touchant délicarement la chose avec ses ongles elle l’observa court circuiter

« allo qg ?
ah la connexion est revenu, qu’est ce qui se passe de ton coté ? s’enquit l’opérateur du qg inquiet
la baraque est couverte d’une glue noire étrange et je viens de courtcircuiter un générateur iem a l’instant, quoi que vous pensiez trouver ici il y est surement.
bien reste en position le temps d’envoyer du renfort.
pas de soucis »

faisant le tour du propriétaire avec discrétion elle fut surprise de découvrir qu’il n’yavait ici que le type qui avait espéré la prendre par surprise. après quelques temps d’attente a profiter du canapé un van arriva avec tout le personnel nécessaire a l’analyse. et elle en profita pour filer

16

ca va etre le feu

27 novembre 2024

ouais j’ai fait du photoshop pour l’event dures a queer ce week end et du coup je le poste comme création de la semaine un peu en triche en exploitant l’expression « ca va etre le feu » -> « ca va etre trop bien »

9

mauvaise surprise

20 novembre 2024

le bruit de l’attelage se faisait entendre dans la cabine de la diligence. les participants a ce voyage s’observait discrètement sans oser briser la glace. au dehors un joli bois s’étendait de chaque coté de la voie, les arbres tendant a l’orange du aux premiers rayons du soleil. certains du groupe tentait d’encore grapiller quelques instants de sommeil.

soudain la charette pila, réveillant proprement tout ce beau monde.

« ouais pardon un écureuil a filé sur la route les chevaux ont pris peur ca arrive » lacha le cocher.

reprenant sa route la diligence arriva au point de vue.

une immense chute d’eau en face de la crète ou la calèche s’était arreté était sublimé par le renforcement des premiers rayons du jour. chacun observait avec émerveillement cette merveille de la nature. récupérant leur bagage a l’arrière ce petit groupe s’installa sur l’herbe du point de vue et entama le petit déjeuner dans cette espace magnifique.

« ah ce trajet en valait la chandelle, je sui pourtant loin d’apprécier les trajets de nuit. démarra un homme
-a qui le dites vous. répondit une femme. ce décor est magnifique je n’aurais jamais cru qu’on pouvait voir tel beauté de nos propres yeux »

le petit groupe s’installa et entama leur repas, le cocher participant a la chose. soudain un caillou fusa de l’orée de la foret tombant près d’eux le groupe entendit soudain un ricanement
« eheheh les gars regardez moi ca le tuyau était vrai, on a vraiment des bourges qui s’amuse ici »

de l’orée du bois un groupe de 3 types bien bati les vetement dans un état douteux se firent visible, avancant lentement vers el groupe la posture confiante et des battes bien en avant. le petit groupe prit peur et courut dans la cabine la verrouillant de l’intérieur tandis que le cocher fit partir l’attelage non sans entendre un bruit sourd. l’un des brigands était visiblement du voyage.

le cocher faisait s’emballer les chevaux tandis que l’arrière de la cabine était régulièrement impacté par des bruits sourds. soudain le cocher fit faire un large virage qui fit massivement tanguer la diligence sans pour autant la renverser. dans le meme instant un cri de douleur parvint aux oreilles des voyageurs confirmant la réussite de la manœuvre dans ce virage sec ils était a présent seul

« bon et bien on va rentrer bredouille semble t’il ?
il semble en effet. répondit l’un d’eux
vous etes mauvaise langue, on aura récupéré de la boue. tenta un autre pour détendre l’atmosphère
et une belle séance de sport. embraya une autre dans un rire »

ainsi l’ambiance se fit plus détendu malgré l’évidente perte de matériel. et chacun put profiter d’un trajet retour plus chaleureux après ce brisage de glace forcé